La tension est montée d'un cran avant-hier jeudi au sein du pôle universitaire d'El Bouni, où les étudiants en communication de la faculté des sciences humaines ne désarment pas et continuent leur débrayage en guise de protestation contre ce qu'il appellent "la bureaucratie de l'administration". Jeudi encore tous les accès menant à "l'administration étaient quasiment bloqués par des étudiants en colère. La condition sine qua non à toute reprise, réitèrent-ils, reste la tenue des promesses que l'administration s'est engagée à concrétiser sans condition, à savoir l'adminission systématique en master de tous les étudiants de la première promo du système LMD. Le bras de fer avec les décideurs de la faculté, dure depuis pratiquement la rentrée universitaire et aucune réponse n'a été donnée aux doléances des édudiants. A croire que "les responsables veulent apparemment que le conflit s'enlise dans le pourrissement, histoire de nous avoir à l'usure" indique l'un des leaders du mouvement. Les contestataires affirment que leur mouvement de protestation risque de se radicaliser "si les responsables s'obstinent dans leur mutisme méprisant". Dans la foulée, les 226 étudiants du département communication s'insurgent aussi contre les conditions d'hébergement et d'enseignement qu'ils n'hésitent pas à qualifier d'"exécrables". Selon le communiqué adressé par l'UGEL aux autorités et tutelle, les étudiants dénoncent l'absence criante d'annexes pédagogiques, d'encadrement adéquat et la montée inquiétante de l'insécurité à l'intérieur du campus. Il faut enfin souligner, qu'après six jours de grêve aucune réaction ne s'est manifestée de la part du ministère de l'Enseignement supérieur, notent avec dépit les représentant, de l'UGEL, déterminés à faire aboutir les revendications des étudiants, quels que soient les obstacles à sfranchir. La tension est montée d'un cran avant-hier jeudi au sein du pôle universitaire d'El Bouni, où les étudiants en communication de la faculté des sciences humaines ne désarment pas et continuent leur débrayage en guise de protestation contre ce qu'il appellent "la bureaucratie de l'administration". Jeudi encore tous les accès menant à "l'administration étaient quasiment bloqués par des étudiants en colère. La condition sine qua non à toute reprise, réitèrent-ils, reste la tenue des promesses que l'administration s'est engagée à concrétiser sans condition, à savoir l'adminission systématique en master de tous les étudiants de la première promo du système LMD. Le bras de fer avec les décideurs de la faculté, dure depuis pratiquement la rentrée universitaire et aucune réponse n'a été donnée aux doléances des édudiants. A croire que "les responsables veulent apparemment que le conflit s'enlise dans le pourrissement, histoire de nous avoir à l'usure" indique l'un des leaders du mouvement. Les contestataires affirment que leur mouvement de protestation risque de se radicaliser "si les responsables s'obstinent dans leur mutisme méprisant". Dans la foulée, les 226 étudiants du département communication s'insurgent aussi contre les conditions d'hébergement et d'enseignement qu'ils n'hésitent pas à qualifier d'"exécrables". Selon le communiqué adressé par l'UGEL aux autorités et tutelle, les étudiants dénoncent l'absence criante d'annexes pédagogiques, d'encadrement adéquat et la montée inquiétante de l'insécurité à l'intérieur du campus. Il faut enfin souligner, qu'après six jours de grêve aucune réaction ne s'est manifestée de la part du ministère de l'Enseignement supérieur, notent avec dépit les représentant, de l'UGEL, déterminés à faire aboutir les revendications des étudiants, quels que soient les obstacles à sfranchir.