La pathologie hépato biliaire et la médecine interventionnelle constituent les deux axes de réflexion des 9es journées médico-chirurgicales qui ont réuni, mardi dernier, de nombreux spécialistes à l'hôpital militaire régional universitaire de Constantine (HMRUC). Les praticiens ont souligné l'importance de réunir tous les intervenants dans le traitement de cette maladie considérée par les spécialistes comme "un problème de 1re urgence", en raison notamment de l'incidence du cancer de la vésicule biliaire, la tumeur gastro-intestinale la plus fréquente, concourant à de graves malformations congénitales en cas de grossesse, surtout que les risques sont deux fois plus fréquents chez la femme. A cet effet, souligne le directeur général du HMRUC, le médecin colonel Cheddadi Mabrouk, "réussir ce défi passe invariablement par la conjugaison des efforts d'une équipe pluridisciplinaire pour l'établissement d'un diagnostic précoce qui permettra une prise en charge précoce du malade et de là, assurer la guérison complète des malades souffrant de cette pathologie". La complémentarité des échanges d'informations scientifiques, insiste encore ce chirurgien, doit passer par la mise en place d'une batterie d'examens qui ouvriraient éventuellement la voie à l'adoption des nouvelles techniques chirurgicales appelées médecines interventionnelles. Ce séminaire médical de deux jours regroupe quelque 300 universitaires. La pathologie hépato biliaire et la médecine interventionnelle constituent les deux axes de réflexion des 9es journées médico-chirurgicales qui ont réuni, mardi dernier, de nombreux spécialistes à l'hôpital militaire régional universitaire de Constantine (HMRUC). Les praticiens ont souligné l'importance de réunir tous les intervenants dans le traitement de cette maladie considérée par les spécialistes comme "un problème de 1re urgence", en raison notamment de l'incidence du cancer de la vésicule biliaire, la tumeur gastro-intestinale la plus fréquente, concourant à de graves malformations congénitales en cas de grossesse, surtout que les risques sont deux fois plus fréquents chez la femme. A cet effet, souligne le directeur général du HMRUC, le médecin colonel Cheddadi Mabrouk, "réussir ce défi passe invariablement par la conjugaison des efforts d'une équipe pluridisciplinaire pour l'établissement d'un diagnostic précoce qui permettra une prise en charge précoce du malade et de là, assurer la guérison complète des malades souffrant de cette pathologie". La complémentarité des échanges d'informations scientifiques, insiste encore ce chirurgien, doit passer par la mise en place d'une batterie d'examens qui ouvriraient éventuellement la voie à l'adoption des nouvelles techniques chirurgicales appelées médecines interventionnelles. Ce séminaire médical de deux jours regroupe quelque 300 universitaires.