L'actuel regain de tension entre le Front Polisario et le Maroc suite notamment à l'arrestation par ce dernier en octobre de 7 militants sahraouis des droits de l'Homme dont Mme Aminatou Haider qui a été expulsée le 14 novembre de Laayoune est source d'inquiétude pour l'ONU, a indiqué l'Organisation lundi dernier dans un communiqué. L'actuel regain de tension entre le Front Polisario et le Maroc suite notamment à l'arrestation par ce dernier en octobre de 7 militants sahraouis des droits de l'Homme dont Mme Aminatou Haider qui a été expulsée le 14 novembre de Laayoune est source d'inquiétude pour l'ONU, a indiqué l'Organisation lundi dernier dans un communiqué. Le Maroc qui vient de fêter le 34e anniversaire de l'occupation de ce pays est resté sourd aux appels réitérés de la communauté internationale à leur libération. Récemment encore, l'opinion publique s'est mobilisée à Barcelone à l'occasion de la 35e conférence de soutien au peuple sahraoui : des centaines de personnes y ont défendu son droit à l'auto-détermination et dénoncé la vague de répression du Maroc contre les populations civiles des territoires occupés. Le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, "est préoccupé par la tension croissante entre les parties aux négociations sur l'avenir du Sahara Occidental, qui s'est accrue du fait de la détention récente de plusieurs groupes d'activistes sahraouis et de la situation d'Aminatou Haidar", indique un communiqué. Récemment encore, réagissant aux arrestations des militants sahraouis, il avait appelé les deux parties à «poursuivre le dialogue et les contacts avec le Haut Commissaire des Nations unies pour les réfugiés en vue de garantir au peuple sahraoui le respect des droits de l'Homme». M. Ban, précise le dernier communiqué, a encore "exhorté les deux parties à continuer de coopérer avec son émissaire personnel, Christopher Ross, pour tenter de programmer une nouvelle série de pourparlers et à chercher à progresser ensemble vers une solution politique mutuellement acceptable". Selon l'agence de presse sahraouie (SPS), M. Ban Ki Moon a affirmé que son envoyé spécial pour le Sahara Occidental, M. Christopher Ross, avait engagé des entretiens informels entre les deux parties. Quatre séries de négociations sur le Sahara Occidental ont eu lieu à Manhasset, entre le Maroc et le Polisario, sous l'égide de l'ONU sans engendrer de progrès. Les derniers développements au Sahara Occidental caractérisés notamment par de nombreuses atteintes aux droits de l'Homme, militent encore davantage «pour un règlement du conflit sur la base de la décision 1817 (2008) du Conseil de sécurité» a réafirmé M. Ban Ki Moon. «Cette décision et le reste des résolutions adoptées par le Conseil de sécurité depuis 2007 appellent les deux parties à engager des négociations directes, de bonne foi et sans conditions préalables en vue d'aboutir à un règlement politique mutuellement acceptable à même de garantir le droit du peuple sahraoui à l'auto-détermination» avait-il conclu. Le Maroc qui vient de fêter le 34e anniversaire de l'occupation de ce pays est resté sourd aux appels réitérés de la communauté internationale à leur libération. Récemment encore, l'opinion publique s'est mobilisée à Barcelone à l'occasion de la 35e conférence de soutien au peuple sahraoui : des centaines de personnes y ont défendu son droit à l'auto-détermination et dénoncé la vague de répression du Maroc contre les populations civiles des territoires occupés. Le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, "est préoccupé par la tension croissante entre les parties aux négociations sur l'avenir du Sahara Occidental, qui s'est accrue du fait de la détention récente de plusieurs groupes d'activistes sahraouis et de la situation d'Aminatou Haidar", indique un communiqué. Récemment encore, réagissant aux arrestations des militants sahraouis, il avait appelé les deux parties à «poursuivre le dialogue et les contacts avec le Haut Commissaire des Nations unies pour les réfugiés en vue de garantir au peuple sahraoui le respect des droits de l'Homme». M. Ban, précise le dernier communiqué, a encore "exhorté les deux parties à continuer de coopérer avec son émissaire personnel, Christopher Ross, pour tenter de programmer une nouvelle série de pourparlers et à chercher à progresser ensemble vers une solution politique mutuellement acceptable". Selon l'agence de presse sahraouie (SPS), M. Ban Ki Moon a affirmé que son envoyé spécial pour le Sahara Occidental, M. Christopher Ross, avait engagé des entretiens informels entre les deux parties. Quatre séries de négociations sur le Sahara Occidental ont eu lieu à Manhasset, entre le Maroc et le Polisario, sous l'égide de l'ONU sans engendrer de progrès. Les derniers développements au Sahara Occidental caractérisés notamment par de nombreuses atteintes aux droits de l'Homme, militent encore davantage «pour un règlement du conflit sur la base de la décision 1817 (2008) du Conseil de sécurité» a réafirmé M. Ban Ki Moon. «Cette décision et le reste des résolutions adoptées par le Conseil de sécurité depuis 2007 appellent les deux parties à engager des négociations directes, de bonne foi et sans conditions préalables en vue d'aboutir à un règlement politique mutuellement acceptable à même de garantir le droit du peuple sahraoui à l'auto-détermination» avait-il conclu.