l Sur la route Lamali-Ahmed, l'une des plus importantes et des plus fréquentées, située juste en face de l'hôpital Nedir de Tizi-Ouzou, deux énergumènes ont pris sur eux de monter ce qui pourrait ressembler à des kiosques. Tout ceci fait de bric et de broc d'une hideur intolérable. De plus, au vu et au su de tous ! Il faut signaler, par ailleurs, que cette route, bouchée par la circulation du lever au coucher du soleil, est parasitée par des vendeurs à la sauvette qui viennent d'un peu partout. Il paraît que certains viendraient même de la capitale. Enfin ! l La rue de la Paix, rebaptisée Rue Zidane-Amar, un chahid de la Guerre de libération, qui se situe en plein centre-ville, a pris un autre visage. Les voitures ne peuvent plus circuler, tant que les cagettes et autres cartons de fruits et légumes, principalement la banane, sont alignés à même le trottoir. C'est ce qui fait dire au génie populaire que les autorités publiques, à défaut de faire dégager cette voie, doivent la rebaptiser «Banana street». l Des carcasses de voitures abandonnées par leurs propriétaires depuis des années polluent certaines places de Tizi-Ouzou. Au milieu de la cité des Genêts, une Simca aronde, un modèle de jadis, trône comme pour narguer les agents de la voirie communale. Deux Zaztava polluent la cité du 11-Décembre. A cela, il faut ajouter cette ferraille qui rappelle une «Dodoche» dans cette même cité. Avis aux collectionneurs ! l Une école privée située à la Nouvelle-ville a dû être fermée pendant une semaine à cause de la grippe A.H1N1. Les services de la santé ont détecté deux cas confirmés, alors que six autres personnes ont été gardées en observation au niveau du chu de Tizi-Ouzou. Selon une source hospitalière, tous les sujets présentant des symptômes de la grippe porcine admis ces derniers jours au CHU de Tizi-Ouzou ont quitté l'hôpital. l Selon les prévisions des responsables de l'hydraulique, l'alimentation en eau potable dans la wilaya de Tizi-Ouzou d'ici juillet 2010 sera considérablement améliorée. A en croire les responsables du secteur de l'hydraulique, les habitants de la wilaya de Tizi-Ouzou ne devront plus endurer les pénuries en eau potable, enregistrées dans différentes régions surtout en période estivale. Tizi-Ouzou sera dotée, nous dit-on, d'un second barrage d'une capacité de 150 millions m3. L'infrastructure, qui sera érigée à Souk T'lata, dans la commune de Tadmaït, sera le deuxième plus grand barrage après celui de Taksebt (170 millions m3), dans la même région. La réception de cette infrastructure est prévue pour mars 2010. l Les résidentes de la cité universitaire de M'douha sont confrontées, ces deux dernières années, à un inquiétant problème d'insécurité. Les résidentes de la cité sont importunées par des extra-universitaires qui circulent de jour comme de nuit en toute quiétude. Les résidentes ne cachent pas leur inquiétude et leur détresse devant cette situation on ne peut plus alarmante. L'insuffisance du nombre des agents de sécurité et la complicité de certains d'entre eux auxquelles s'ajoute le silence de l'administration sont parmi les causes principales de cet état de faits, se plaignent les étudiantes. Certaines d'entre elles ont dû quitter la résidence et rentrer carrément chez elles. l Sur la route Lamali-Ahmed, l'une des plus importantes et des plus fréquentées, située juste en face de l'hôpital Nedir de Tizi-Ouzou, deux énergumènes ont pris sur eux de monter ce qui pourrait ressembler à des kiosques. Tout ceci fait de bric et de broc d'une hideur intolérable. De plus, au vu et au su de tous ! Il faut signaler, par ailleurs, que cette route, bouchée par la circulation du lever au coucher du soleil, est parasitée par des vendeurs à la sauvette qui viennent d'un peu partout. Il paraît que certains viendraient même de la capitale. Enfin ! l La rue de la Paix, rebaptisée Rue Zidane-Amar, un chahid de la Guerre de libération, qui se situe en plein centre-ville, a pris un autre visage. Les voitures ne peuvent plus circuler, tant que les cagettes et autres cartons de fruits et légumes, principalement la banane, sont alignés à même le trottoir. C'est ce qui fait dire au génie populaire que les autorités publiques, à défaut de faire dégager cette voie, doivent la rebaptiser «Banana street». l Des carcasses de voitures abandonnées par leurs propriétaires depuis des années polluent certaines places de Tizi-Ouzou. Au milieu de la cité des Genêts, une Simca aronde, un modèle de jadis, trône comme pour narguer les agents de la voirie communale. Deux Zaztava polluent la cité du 11-Décembre. A cela, il faut ajouter cette ferraille qui rappelle une «Dodoche» dans cette même cité. Avis aux collectionneurs ! l Une école privée située à la Nouvelle-ville a dû être fermée pendant une semaine à cause de la grippe A.H1N1. Les services de la santé ont détecté deux cas confirmés, alors que six autres personnes ont été gardées en observation au niveau du chu de Tizi-Ouzou. Selon une source hospitalière, tous les sujets présentant des symptômes de la grippe porcine admis ces derniers jours au CHU de Tizi-Ouzou ont quitté l'hôpital. l Selon les prévisions des responsables de l'hydraulique, l'alimentation en eau potable dans la wilaya de Tizi-Ouzou d'ici juillet 2010 sera considérablement améliorée. A en croire les responsables du secteur de l'hydraulique, les habitants de la wilaya de Tizi-Ouzou ne devront plus endurer les pénuries en eau potable, enregistrées dans différentes régions surtout en période estivale. Tizi-Ouzou sera dotée, nous dit-on, d'un second barrage d'une capacité de 150 millions m3. L'infrastructure, qui sera érigée à Souk T'lata, dans la commune de Tadmaït, sera le deuxième plus grand barrage après celui de Taksebt (170 millions m3), dans la même région. La réception de cette infrastructure est prévue pour mars 2010. l Les résidentes de la cité universitaire de M'douha sont confrontées, ces deux dernières années, à un inquiétant problème d'insécurité. Les résidentes de la cité sont importunées par des extra-universitaires qui circulent de jour comme de nuit en toute quiétude. Les résidentes ne cachent pas leur inquiétude et leur détresse devant cette situation on ne peut plus alarmante. L'insuffisance du nombre des agents de sécurité et la complicité de certains d'entre eux auxquelles s'ajoute le silence de l'administration sont parmi les causes principales de cet état de faits, se plaignent les étudiantes. Certaines d'entre elles ont dû quitter la résidence et rentrer carrément chez elles.