Les 260-Logements à Aïn-Bénian, Les Palmiers à Badjarah, pour ne parler que de ces deux cités ont été classées parmi les sites, déclarés par le CET- un organisme d'Etat tout ce qu'il y a de plus sérieux - "rouge" soit qu'il est strictement interdit d'y habiter. Pourtant à ce jour ces habitations "abritent", tant bien que mal, des centaines de familles qui ont épuisé tous les recours et qui vivent la peur au ventre de finir sous les décombres de leurs toits suite à l'inévitable effondrement . Les 260-Logements à Aïn-Bénian, Les Palmiers à Badjarah, pour ne parler que de ces deux cités ont été classées parmi les sites, déclarés par le CET- un organisme d'Etat tout ce qu'il y a de plus sérieux - "rouge" soit qu'il est strictement interdit d'y habiter. Pourtant à ce jour ces habitations "abritent", tant bien que mal, des centaines de familles qui ont épuisé tous les recours et qui vivent la peur au ventre de finir sous les décombres de leurs toits suite à l'inévitable effondrement . Plusieurs habitations dans la capitale ont été classées "orange" ou plus grave "rouge" après le terrible séisme qui a frappé l'Algérie en 2003. Mais, car il y a un mais, le grand point d'interrogation est que ces bâtisses, en dépit de leur dangerosité reconnue par un organisme d'Etat, sont à ce jour occupées par des familles qui n'ont de cesse, pourtant de tirer la sonnette d'alarme. Nombreux sont les quartiers d'Alger où l'on a recensé des immeubles déclarés "inhabitables" au vu de leur état : murs porteurs fissurés, plafonds effondrés,escaliers en ruine... !! Pourtant ces habitations, en dépit du bon sens, sont toujours occupées par leurs locataires ; Bab El-Oued, Bach-Djarah, Ain-Benian... sont parmi les quartiers renfermant des dizaines d'immeubles ou maisons individuelles dans un état lamentable et risquant de s'écrouler sur les crânes de leurs occupants d'uninstant à l'autre. Les résidants des 260-Logements à Ain-Benian font partie du lot de ces citoyens qui lancent un appel au secours pour un relogement urgent qui pourrait contribuer à préserver leurs vies. Depuis des années ils se font bercer de promesses, mais avant leur relogement hypothétique, la moindre catastrophe pourrait encore engendrer des pertes humaines inestimables. Cette cité, composée de deux immeubles, abrite - si l'on peut utiliser ce terme - une vingtaine de familles. Ces familles depuis le lendemain du drame de 2003 vivent avec cette perpétuelle angoisse de voir un jour leurs maisons s'effondrer sur leurs têtes. Classés "rouge" depuis 2003 ces bâtisses branlantes ne sont plus que des ruines qui auraient dû être rasées depuis longtemps. "Nous ne dormons que d'un oeil dans la crainte de mourir dans notre sommeil ensevelis sous les décombres de ce qui est censé nous garder à l'abri", nous diront des résidants de ces deux bâtisses en ruine. "Nous avons effectué plusieurs démarches auprès des autorités locales pour les inciter à concrétiser les promesses qu'ils nous ont faites. Mais à chaque distribution d'un nouveau quota de logements sociaux, c'est une nouvelle désillution. Cela reste de vaines promesses et paroles sans lendemains", ajoutent-ils. Les habitants du quartier Les-Palmiers à Bachdjarah, vivent pratiquement ces même conditions inhumaines. Mêmes conditions et mêmes appréhensions dans ce quartier de la proche banlieue algéroise où une centaine de familles regardent, impuissantes, chaque jour des morceaux de leurs murs tomber, des eaux pluviales s'infilter par les crevasses de leurs toits lors de chaque chute de pluie. Les habitants de ce quartier nous avouent que les services communaux ont effectué, à maintes reprises, plusieurs opérations de réhabilitation de leur quartier, mais ces opérations, considérées comme des cautères sur une jambe de bois, ne sont d'aucune utilité et sont en fait de simples "fardages". "Il faut rendre justice à notre commune qui a bien commandé des travaux de réhabilitation de notre quartier, mais son état est tellement délétère que cela ne peut plus servir à grand-chose, c'est simplement de l'argent dépensé pour rien", déplore un habitant dudit quartier. Ce qui contribue à faire empirer cette situation pour le moins déplorable dans ce quartier, ce sont les innombrables flaques d'eaux usées qui se sont formées un peu partout à travers le quartier suite aux dommages survenus sur les conduites d'assainissement. De ce fait des odeurs nauséabondes agressent les narines et attirent des milliers d'insectes parasites transformant tout simplement la vie des citoyens de la cité "Les Palmiers" en calvaire perpétuel. Plusieurs habitations dans la capitale ont été classées "orange" ou plus grave "rouge" après le terrible séisme qui a frappé l'Algérie en 2003. Mais, car il y a un mais, le grand point d'interrogation est que ces bâtisses, en dépit de leur dangerosité reconnue par un organisme d'Etat, sont à ce jour occupées par des familles qui n'ont de cesse, pourtant de tirer la sonnette d'alarme. Nombreux sont les quartiers d'Alger où l'on a recensé des immeubles déclarés "inhabitables" au vu de leur état : murs porteurs fissurés, plafonds effondrés,escaliers en ruine... !! Pourtant ces habitations, en dépit du bon sens, sont toujours occupées par leurs locataires ; Bab El-Oued, Bach-Djarah, Ain-Benian... sont parmi les quartiers renfermant des dizaines d'immeubles ou maisons individuelles dans un état lamentable et risquant de s'écrouler sur les crânes de leurs occupants d'uninstant à l'autre. Les résidants des 260-Logements à Ain-Benian font partie du lot de ces citoyens qui lancent un appel au secours pour un relogement urgent qui pourrait contribuer à préserver leurs vies. Depuis des années ils se font bercer de promesses, mais avant leur relogement hypothétique, la moindre catastrophe pourrait encore engendrer des pertes humaines inestimables. Cette cité, composée de deux immeubles, abrite - si l'on peut utiliser ce terme - une vingtaine de familles. Ces familles depuis le lendemain du drame de 2003 vivent avec cette perpétuelle angoisse de voir un jour leurs maisons s'effondrer sur leurs têtes. Classés "rouge" depuis 2003 ces bâtisses branlantes ne sont plus que des ruines qui auraient dû être rasées depuis longtemps. "Nous ne dormons que d'un oeil dans la crainte de mourir dans notre sommeil ensevelis sous les décombres de ce qui est censé nous garder à l'abri", nous diront des résidants de ces deux bâtisses en ruine. "Nous avons effectué plusieurs démarches auprès des autorités locales pour les inciter à concrétiser les promesses qu'ils nous ont faites. Mais à chaque distribution d'un nouveau quota de logements sociaux, c'est une nouvelle désillution. Cela reste de vaines promesses et paroles sans lendemains", ajoutent-ils. Les habitants du quartier Les-Palmiers à Bachdjarah, vivent pratiquement ces même conditions inhumaines. Mêmes conditions et mêmes appréhensions dans ce quartier de la proche banlieue algéroise où une centaine de familles regardent, impuissantes, chaque jour des morceaux de leurs murs tomber, des eaux pluviales s'infilter par les crevasses de leurs toits lors de chaque chute de pluie. Les habitants de ce quartier nous avouent que les services communaux ont effectué, à maintes reprises, plusieurs opérations de réhabilitation de leur quartier, mais ces opérations, considérées comme des cautères sur une jambe de bois, ne sont d'aucune utilité et sont en fait de simples "fardages". "Il faut rendre justice à notre commune qui a bien commandé des travaux de réhabilitation de notre quartier, mais son état est tellement délétère que cela ne peut plus servir à grand-chose, c'est simplement de l'argent dépensé pour rien", déplore un habitant dudit quartier. Ce qui contribue à faire empirer cette situation pour le moins déplorable dans ce quartier, ce sont les innombrables flaques d'eaux usées qui se sont formées un peu partout à travers le quartier suite aux dommages survenus sur les conduites d'assainissement. De ce fait des odeurs nauséabondes agressent les narines et attirent des milliers d'insectes parasites transformant tout simplement la vie des citoyens de la cité "Les Palmiers" en calvaire perpétuel.