La gare routière de la ville de Boumerdès est dans un état, le moins que l'on puisse dire, lamentable. Elle est devenue synonyme de calvaire aussi bien pour les transporteurs que pour les usagers. Cette dernière souffre de l'absence d'agents de sécurité et de la dégradation avancée de la chaussée. Ce lieu public est devenu une source de nuisance en raison de l'absence d'une sérieuse prise en charge. L'anarchie, l'insalubrité, des avaloirs bouchés, des eaux usées, le commerce informel tels sont les maux qui gangrènent cette gare au grand dam des voyageurs. Il est devenu impossible de prendre un bus lorsqu'il pleut. Des flaques d'eau se forment à la moindre précipitation et elle est totalement inondée. Les jours de marché, cette gare devient un lieu à éviter du fait que des dizaines de commerçants à la sauvette étalent leurs produits à même la chaussée. Et lorsque ces commerçants de fortune quittent les lieux, ils laissent derrière eux des amas de détritus et d'ordures. Même les services de voiries semblent dépassés. Mais ce qui donne froid au dos et qui a pris des proportions alarmantes, c'est l'absence de sécurité. «Notre sécurité n'est pas assurée, nous craignons d'être agressés à n'importe quel moment», nous dira une étudiante. Elle ajoute : « L'année écoulée, lors d'un jour de marché, un jeune m'a volé mon téléphone portable au vu et au su de tout le monde». En outre, les transporteurs se plaignent de l'absence d'entretien et d'aménagement de ce lieu. Ils déplorent l'état lamentable dans lequel se trouve la gare. En dépit du payement d'une taxe de 1.800 DA par mois comme frais d'accès, les transporteurs attendent avec impatience un geste qui va dans le sens d'améliorer les conditions de travail. Par ailleurs, le secteur des transports dans la wilaya de Boumerdès accuse d'énormes retards et carences. L'absence de station et d'Abribus dans les différentes communes de la wilaya n'est qu'une preuve de cette déliquescence. A titre d'exemple, l'on peut citer quelques villes ne disposant toujours pas d'une station digne de ce nom, c'est le cas des Issers, de Si Mustapha, de Tidjelabine, et de Dellys. La gare routière de la ville de Boumerdès est dans un état, le moins que l'on puisse dire, lamentable. Elle est devenue synonyme de calvaire aussi bien pour les transporteurs que pour les usagers. Cette dernière souffre de l'absence d'agents de sécurité et de la dégradation avancée de la chaussée. Ce lieu public est devenu une source de nuisance en raison de l'absence d'une sérieuse prise en charge. L'anarchie, l'insalubrité, des avaloirs bouchés, des eaux usées, le commerce informel tels sont les maux qui gangrènent cette gare au grand dam des voyageurs. Il est devenu impossible de prendre un bus lorsqu'il pleut. Des flaques d'eau se forment à la moindre précipitation et elle est totalement inondée. Les jours de marché, cette gare devient un lieu à éviter du fait que des dizaines de commerçants à la sauvette étalent leurs produits à même la chaussée. Et lorsque ces commerçants de fortune quittent les lieux, ils laissent derrière eux des amas de détritus et d'ordures. Même les services de voiries semblent dépassés. Mais ce qui donne froid au dos et qui a pris des proportions alarmantes, c'est l'absence de sécurité. «Notre sécurité n'est pas assurée, nous craignons d'être agressés à n'importe quel moment», nous dira une étudiante. Elle ajoute : « L'année écoulée, lors d'un jour de marché, un jeune m'a volé mon téléphone portable au vu et au su de tout le monde». En outre, les transporteurs se plaignent de l'absence d'entretien et d'aménagement de ce lieu. Ils déplorent l'état lamentable dans lequel se trouve la gare. En dépit du payement d'une taxe de 1.800 DA par mois comme frais d'accès, les transporteurs attendent avec impatience un geste qui va dans le sens d'améliorer les conditions de travail. Par ailleurs, le secteur des transports dans la wilaya de Boumerdès accuse d'énormes retards et carences. L'absence de station et d'Abribus dans les différentes communes de la wilaya n'est qu'une preuve de cette déliquescence. A titre d'exemple, l'on peut citer quelques villes ne disposant toujours pas d'une station digne de ce nom, c'est le cas des Issers, de Si Mustapha, de Tidjelabine, et de Dellys.