Pourquoi le footballeur algérien n'a-t-il pas cette culture de la gagne ? Quand on voit des nations que l'EN a sorties lors des éliminatoires, comme l'Egypte, qui dit vouloir gagner pour la troisième fois la coupe d'Afrique des nations, on est surpris de voir notre sélectionneur se contenter d'annoncer que l'objectif de l'Algérie en CAN n'est seulement que d'atteindre le second tour. Pourquoi le footballeur algérien n'a-t-il pas cette culture de la gagne ? Quand on voit des nations que l'EN a sorties lors des éliminatoires, comme l'Egypte, qui dit vouloir gagner pour la troisième fois la coupe d'Afrique des nations, on est surpris de voir notre sélectionneur se contenter d'annoncer que l'objectif de l'Algérie en CAN n'est seulement que d'atteindre le second tour. Ce qui confirme que notre interrogation n'est pas un pur hasard. Même nos prochains adversaires en janvier prochain, à la CAN, les Angolais, ont été surpris par la déclaration du cheikh. Normal ! Car, si on voit bien, l'Algérie est le seul mondialiste du groupe. Craindre le Malawi, le Mali et l'Angola n'est pas tolérable. Certes, il ne faut jamais sous-estimer nos rivaux, mais c'est le fait d'avoir peur qui est grave. Quand on entend Saâdane parler du Mali et de «bsa» (constellation de stars) que nous connaissons tous, des joueurs qui évoluent dans les meilleurs championnats européens et qui font les beaux jours du Real et du Barca, tel Kanouté, on se dit alors, notre équipe n'a-t-elle pas, elle aussi, du talent à faire valoir ? Pourtant, Belhadj s'est distingué de fort belle manière ces derniers jours face à Liverpool en marquant un beau but ou encore Ziani, Matmour ou Antar Yahia qui évoluent en Bundesliga et qui, à chaque fois, jouent face à de grosses cylindrées d'Allemagne, des matchs de haut niveau. Sans oublier Meghni qui joue dans le Calcio, le championnat Italien. Donc, l'EN dispose bien d'individualités, Saâdane ne peut nier ce constat qu'il avait fait lui-même à maintes reprises. Il reste, alors, la cohésion. Pour travailler ce point, il faut jouer le plus de matchs possibles et s'améliorer. La CAN peut offrir cette opportunité. Car, si on venait à jouer six matches au moins, on aurait frappé d'une pierre deux coups. Comment ? Nous pourrions atteindre la finale et faire ainsi bonne figure en Angola. Et, aussi, nous totaliserions beaucoup de matches dans les jambes qui vont nous aider à voir l'avenir sereinement. Mais, si, l'on se contente de limiter les dégâts, on va revivre le même cauchemar qu'en 1986. Cette année là, l'EN avait fait une coupe d'Afrique catastrophique qui s'est répercutée sur le mental de l'équipe qui est allée au Mexique réaliser un Mondial quelconque, sans le moindre coup d'éclat. Donc, pour éviter tout cela, l'Algérien espère que le sélectionneur fasse en sorte que l'EN mette le paquet pour la CAN. Du moins, il espère que derrière le discours de Saâdane, le coach conserve dans la plus totale discrétion ses objectifs réels qui sont d'aller en Angola pour gagner le sacre final. Pourquoi pas ? Ce qui confirme que notre interrogation n'est pas un pur hasard. Même nos prochains adversaires en janvier prochain, à la CAN, les Angolais, ont été surpris par la déclaration du cheikh. Normal ! Car, si on voit bien, l'Algérie est le seul mondialiste du groupe. Craindre le Malawi, le Mali et l'Angola n'est pas tolérable. Certes, il ne faut jamais sous-estimer nos rivaux, mais c'est le fait d'avoir peur qui est grave. Quand on entend Saâdane parler du Mali et de «bsa» (constellation de stars) que nous connaissons tous, des joueurs qui évoluent dans les meilleurs championnats européens et qui font les beaux jours du Real et du Barca, tel Kanouté, on se dit alors, notre équipe n'a-t-elle pas, elle aussi, du talent à faire valoir ? Pourtant, Belhadj s'est distingué de fort belle manière ces derniers jours face à Liverpool en marquant un beau but ou encore Ziani, Matmour ou Antar Yahia qui évoluent en Bundesliga et qui, à chaque fois, jouent face à de grosses cylindrées d'Allemagne, des matchs de haut niveau. Sans oublier Meghni qui joue dans le Calcio, le championnat Italien. Donc, l'EN dispose bien d'individualités, Saâdane ne peut nier ce constat qu'il avait fait lui-même à maintes reprises. Il reste, alors, la cohésion. Pour travailler ce point, il faut jouer le plus de matchs possibles et s'améliorer. La CAN peut offrir cette opportunité. Car, si on venait à jouer six matches au moins, on aurait frappé d'une pierre deux coups. Comment ? Nous pourrions atteindre la finale et faire ainsi bonne figure en Angola. Et, aussi, nous totaliserions beaucoup de matches dans les jambes qui vont nous aider à voir l'avenir sereinement. Mais, si, l'on se contente de limiter les dégâts, on va revivre le même cauchemar qu'en 1986. Cette année là, l'EN avait fait une coupe d'Afrique catastrophique qui s'est répercutée sur le mental de l'équipe qui est allée au Mexique réaliser un Mondial quelconque, sans le moindre coup d'éclat. Donc, pour éviter tout cela, l'Algérien espère que le sélectionneur fasse en sorte que l'EN mette le paquet pour la CAN. Du moins, il espère que derrière le discours de Saâdane, le coach conserve dans la plus totale discrétion ses objectifs réels qui sont d'aller en Angola pour gagner le sacre final. Pourquoi pas ?