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Le communiqué provocateur
Publié dans Le Quotidien d'Algérie le 12 - 01 - 2010


Le Quotidien d'Oran 10 janvier 2010
Le communiqué provocateurLa détermination qui anime les grévistes du complexe véhicules SNVI de Rouiba n'a nullement été entamée par la répression dont ils ont fait l'objet et le désaveu que leur a opposé la centrale UGTA. Ils l'ont prouvé en décidant hier la poursuite de leur mouvement revendicatif.
A vrai dire, leur décision n'est pas pour surprendre car le comportement des autorités et la prise de position de l'UGTA, au lieu de les pousser vers la voie de l'apaisement et du dialogue, les ont contraints à ce choix. Leur fronde va donc se poursuivre avec l'élément nouveau qu'elle va très certainement faire tache d'huile dans la très sensible zone industrielle de Rouiba. D'autres collectifs de travailleurs d'entreprises publiques et même privées ont d'ores et déjà exprimé leur solidarité avec les grévistes de la SNVI et annoncé leur intention de rejoindre activement leur action revendicative.
Si cela se concrétise, c'est la zone industrielle de Rouiba qui risque d'être paralysée. Un scénario que Sidi Saïd et la centrale UGTA ont eu présent à l'esprit quand ils ont rédigé leur communiqué désapprouvant le débrayage spontané des travailleurs du complexe véhicules SNVI.
A bien décrypter ce message que l'UGTA a adressé, non aux concernés mais à «l'ensemble des travailleurs et de la famille syndicale», l'on ne peut qu'y voir une tentative de stigmatisation des grévistes accusés en sous-entendu de n'être pas reconnaissants des mesures favorables décidées au profit de leur entreprise par le président de la République et les pouvoirs publics. Autrement dit, la centrale somme les autres travailleurs et ses affiliés de ne pas voir de la légitimité dans les revendications des grévistes de la SNVI. C'est tout juste si le secrétaire général de l'UGTA n'a pas dénoncé ceux-ci comme ayant agi au détriment de ce redressement de leur entreprise que les mesures gouvernementales prises en sa faveur font entrevoir.
Le communiqué du patron de la centrale UGTA est tombé à plat. Son plaidoyer pour la politique gouvernementale n'est pas ce que les grévistes et l'ensemble des travailleurs attendaient de lui à l'occasion de ce conflit social qui a éclaté au complexe SNVI. Ils ont voulu et veulent encore qu'il se prononce clairement sur les deux revendications phares qui en sont les déclencheurs. A savoir des augmentations de salaires d'une autre consistance que celle entérinée par la tripartite de décembre 2009 et le maintien du dispositif actuellement en vigueur des départs en retraite. Ce que Sidi Saïd a refusé d'aller discuter avec les grévistes et auxquelles il a fait juste référence dans son communiqué, en promettant, pour la première, une vague perspective de négociation sur le sujet dans le cadre des conventions collectives de branches et d'entreprises et, pour la deuxième, le maintien du dispositif de retraite en vigueur jusqu'à promulgation du nouveau texte de loi.
Il n'y a plus grand monde pour croire aux promesses de l'UGTA et les travailleurs de la SNVI l'ont prouvé en déclenchant leur protesta en dehors de son cadre organique. Et ils sont suivis par les salariés des autres entreprises qui ont décidé de rejoindre leur mouvement dans les mêmes formes.
Dans ce conflit, la balle est dans le camp des pouvoirs publics. Le pourrissement qu'ils veulent lui faire subir en faisant la sourde oreille à la demande de dialogue des grévistes est porteur de dangereux développements, comme le montrent les affrontements s'étant déjà produits à Rouiba et l'extension de la protesta à d'autres entités industrielles de la zone de Rouiba.
Sa persistance dans le temps et d'éventuels dérapages peuvent être les ingrédients d'une fronde sociale à la dimension nationale.
15 Réponses sur " Le communiqué provocateur "
1.
Si Tchad dit :
12 janvier 2010 à 15 h 02 min
Saïd Essindika est encore là à desavouer les grévistes?
Moi je le pensais derriere les barreaux pour, excusez du peu: faux et usage de faux, blanchiment d'argent, corruption et de détournements de fonds,dans les affaires, excusez du peu: Khalifa Bank, Khalifa Airways & Antinéa Airlines…
Apparement il s'agit d'un homonyme. Mes excuses alors!
Si Tchad
2.
bourourou dit :
12 janvier 2010 à 17 h 42 min
ya si tachad hal touchakikou fi misdakayate el 3dala el djazairiya , si said sandika dakhala la cour comme temoin yakhroudjou comme temoin
3.
Ammisaid dit :
12 janvier 2010 à 19 h 01 min
Assalam, azul, bonsoir
A SID SAID, tu n'as pas compris les travailleurs de rouiba, du sud, d'alger, du nord, de l'ouest, de l'est…: ils veulent tous comme toutes les algériennes et tous les Algériens devenir des députés et avoir les mêmes avantages et les mêmes salaires que nos députés et pas en travaillant mais levant la main pour dire oui à tout.
Ils en ont marre des salaires de misère, de la faim, des bus qui arrivent jamais à l'heure et des voitures qui tombent souvent en panne.
Ils ont marre de manger le couscous, la3dess, loubia…sans viande toute l'année et presque tous les jours.
Ils ont marre de vivre à 10 OU 15 dans deux pièces. Ils en ont marre de la vieillesse a trente ans et de la mort encore vivants.
Ils ont marre du célibat dur et qui dure, dure et dure.
Ils en ont marre de dormir sale et de se réveiller sale faute d'eau dans les robinets ou faute de temps ou de force pour se laver le soir.
Ils en ont marre d'être couverts par des milliards de dollars et de toucher quelques dinars pendant que toi et tes semblables vous vivez comme des rois gros et plein de joie et d'espoir.
Ils en ont marre de croire vos mensonges enrobés du venin de vipères et d'attendre vos promesses qui vont dans des poubelles ou dans les terroirs avant même quelles sortent de vos bouches d'hypocrites et de menteurs.
Ils en ont marre de vos baïonnettes sur les épaules, le dos et la tête et vos bombes lacrymogènes à chaque fois qu'ils réclament du respect, un peu de dignité et les mêmes droits que tous les travailleurs de la planète terre.
Ils en ont marre d'être des serviteurs et des esclaves de tous ses directeurs incompétents et médiocres et de tous ses patrons qui deviennent riches à la vitesse de la lumière et de tous ses corrompus qui étalent leurs richesses et qui vivent dans la luxure sans jamais avoir offert une goutte de sueur à cette terre de sacrifices et de douleurs.
Ils en ont marre de regarder leurs filles et de penser quelles vont être à l'avenir, mille fois malheureuses que leurs mères et de regarder leurs fils en ayant la certitudes qu'ils vont devenir des chômeurs, des harragas, des voleurs, des célibataires endurcis, des toxicomanes ou des fous qui errent sans savoir s'ils sont réels ou le produit d'un monde imaginaire.
Ils en ont marre de voir ton visage de pervers qui rend visible ton coeur d'avare, dur comme une pierre et noire comme les ténèbres de l'enfer.
Ils en ont marre de subir vos alliances avec tous ces charognards qui mangent la chair et qui boivent le sang de leurs frères et de leurs soeurs auxquels vous vous êtes imposés par la ruse, la violence, le crime et parfois même par une barbarie dirigé par les suppôts de Luciifer, celui qui est convaincu qu'il est eternel et qu'il est le seul digne héritière de ces millions de martyres qui s'étaient sacrifiées pour une Algérie digne, juste, fraternelle, libre, sociale, solidaire et prospère.
Ils en ont marre, alors, partez avant que cela soit trop tard.
Fraternellement à toutes et tous et vive l'unité tous les travailleurs et de toutes les travailleuses qui aiment l'Algérie avec un coeur digne, libre et doté de nos valeurs ancestrales.
4.
James Canada dit :
12 janvier 2010 à 19 h 03 min
Il n'y a qu'à voir sa tête, pensez vous qu'elle contienne quelque chose de bon, peut-on en tirer quelque chose ? Ce c. sorti de nulle part travaille pour son bien être seulement et celui de ses proches. Les travailleurs sont son dernier souci. Mais en fait que représente-t-il?
5.
salah dit :
12 janvier 2010 à 22 h 57 min
La realité est que l'UGTA n'est pas un syndicat. Il est un ensemble de personnes liées aux services secrets, qui ont quidnappé le sigle de aissat idir. En fait l'algerie n'a pas possédé de syndicat depui 1963.Sidi said lui même le sait. Exception faite aux syndicats autonome crée lors de la parenthese democratique 1988-1992 (Trés vite refermée).Nous souhaitons que ce mouvement syndical soit le commencement de quelque chose de serieux. Vous savez les choses sont simples à comprendre. Si on se pose la question suivante:si rien n'est fait,quelle sera la situation des travailleurs algeriens dans 5 ans ou dans 10 ans? La réponse est qu'elle sera pire.Si les generaux seront gentils!!!!! elle sera la même (c'est à dire catastrophique). Alors pourquoi rester passif et ne pas se solidariser avec les greviste. Le mot secret est le suivant:il ne sert à rien d'attendre demain. Car demain c'est aujourd'hui.
6.
Résigné dit :
13 janvier 2010 à 0 h 08 min
il n'a pas la tête d'un syndicaliste ni le coeur d'ailleurs mais il y met la forme, la barbe et les cheveux fournis. Il est à l'image de l'Algérie et de ses institutions: Tout est dans la forme.
7.
LEFHEL dit :
13 janvier 2010 à 13 h 37 min
LE DROIT A L'EXERCICE SYNDICAL, OTAGE DE L'UGTA…??? POURQUOI…???
Monsieur le Président de la République, sauvez le droit à l'exercice syndical, otage de l'UGTA dixit la loi !
Monsieur Abdelaziz BOUTEFLIKA Président de la République Algérienne, je suis un des travailleurs adhérents UGTA qui vous sollicite et vous supplie de sauver rapidement de l'hécatombe, le droit à l'exercice syndical monopolisé injustement par la présente UGTA.
Monsieur le Président de la République, agissez de main de fer pendant qu'il est encore temps en ordonnant et en décrétant fermement, l'application réelle du droit à l'exercice syndical garanti par la constitution à tous les citoyens, ce qui permettrait assurément l'instauration d'une justice sociale et d'une stabilité du climat social dans le monde du travail, menant à l'éveil et l'essor de la figée société civile de notre Algérie mon Amour.
Monsieur le Président de la République, le sang sacré des martyrs de la guerre de libération et des martyrs de l'UGTA, les sacrifices consentis par les travailleurs algériens durant presque un demi siècle d'indépendance dans la construction du pays pour que soit consacré un état de droit, la pratique de la liberté d'expression et le libre exercice du droit syndical garantis par la constitution, sont aujourd'hui mis en demeure de périr par le clan régnant sur l'actuelle UGTA, rentière et bananière.
Monsieur le Président de la République, l'exercice syndical chez nous est en danger, l'ère des opportunistes de tout bord arrivés à nous représenter par le biais de fraude massive des élections UGTA dont les résultats sont toujours connus d'avance, a consacré sous couvert de la fausse représentativité, un flagrant état de non droit dans lequel les manigances, la rafle des deniers publics et la perversion des biens des entreprises en instruments de pression font force de loi au détriment des intérêts matériels et moraux des collectifs, ignorés dans de grandes mesures par les parties syndicale et direction.
L'UGTA, un partenaire social représentatif dites-vous Monsieur le premier Ministre … ! Un syndicat rebelle à la loi dixit le droit.
Pertinemment les permanents acteurs de la direction nationale de l'UGTA qui vont participer prochainement à la réunion tripartite qu'attendent les travailleurs, agiront comme d'habitude dans un protocole ou les figurants sont luxueusement récompensés par des parachutages à de hauts postes de responsabilité syndicale et de gestion, en échange de contrats de soumission convergents vers la conquête de grands privilèges pour eux, ce qui fait mal à l'économie nationale, aux travailleurs et au pays meurtris.
Quel dégoût de voir les pratiques irresponsables de ce syndicat usant de réflexes d'une autre époque et qui ne cesse dans ses indescriptibles activités de violer les lois de la République ! Et quel aveuglement routinier des pouvoirs qui utilisent ainsi le droit !
Tandis que les accords de toute tripartite sont un moyen de stabilité sociale dans les entreprises normales et qu'ils viennent continuellement pour conforter la nécessité d'asseoir une harmonie sociale et d'éliminer graduellement les disparités indiscutables entre une entreprise et une autre au sein d'un même secteur d'activité.
Monsieur le président de la République, mon urgent appel de travailleur bâillonné, opprimé et privé du droit d'être bien défendu comme beaucoup d'autres ouvriers, trouvera sûrement écho auprès de milliers de citoyens partageant ma démarche d'alerte auprès de votre Excellence. Ainsi n'étant plus seul, nous vous prions dans notre alerte :
De sauver le peu qui reste de crédible à l'UGTA, car la représentativité des travailleurs passée entre les mains de l'affairisme syndical, est devenue otage de syndicalistes indéboulonnables, parmi eux des gens en retraite, la passivité inexpliquée de l'UGTA face aux récents conflits collectifs de travail en est témoin. Voir le récent cas des dockers : (http://www.elwatan.com/Rassemblement-devant-le-siege-de-la-centrale)
Monsieur le président de la République, nous vous supplions de faire stopper le désastre le péril et la clochardisation du droit syndical, en décrétant formellement l'application du pluralisme syndical pour le triomphe du droit et évidemment, pour le bien à venir à notre pays. Nous espérons vous voir agir tôt et fermement.
Pour vous éclairer en mieux encore, nous vous relatons la chronologie de faits syndicaux sur le désastre concernant l'injuste représentativité des travailleurs algériens :
Nous constatons que depuis le déroulement du 11éme faux congrès national de l'UGTA tenu en mars 2008, pour le dégagement d'une nouvelle CEN (285 membres) et d'un nouveau Secrétariat National (13 membres), la soit disant nouvelle instance (CEN), ne s'est pas encore réunit depuis 18 mois ! Une négligence organique grave.
Pourtant la légalité dixit que les instances et structures nationales de l'UGTA sont le congrès national et la commission exécutive nationale, CEN. Cette dernière, instance suprême de l'UGTA dans l'intervalle de deux (2) congrès, devait se réunir tous les six (6) mois en session ordinaire, elle peut aussi se réunir en session extraordinaire pour toute situation urgence à la demande :- des 2/3 de ses membres – de son Secrétariat National – du Secrétaire Général de l'UGTA.
Pis, il est scandaleux que le Secrétariat National agisse illégalement au nom d'une petite CEN parallèle à celle élue en l'absence d'une vie organique saine à l'UGTA, alors que le Secrétariat est uniquement une instance exécutive de gestion de la CEN.
Pourtant la légalité dixit que le Secrétariat National est responsable devant la CEN, active, coordonne, oriente et contrôle toutes les activités des instances et structures valides de l'UGTA (s'il y en a une ?) en plus, le Secrétariat gère la gestion financière de l'organisation dans le respect des lois en vigueur (Lois 90-11 et 14, Statuts et Règlement intérieur, Plan Comptable National). Dans tout ça, où est l'application du droit ?
Monsieur le président de la République, le sois disant 11éme Congrès a amendé un nouveau statut avec de nouvelles dispositions introduites, mais l'hilarant et l'incroyable, l'UGTA continue de fonctionner avec l'ex règlement intérieur issu du 10éme congrès, alors qu'il est exigé de sa soit disant nouvelle CEN, d'élaborer un nouveau règlement intérieur, mais ce dernier n'a pas encore vu le jour. Inextricable confusion organique !
Sur cette dernière, nous pouvons dire sans crainte à qui veut bien nous entendre que l'UGTA représente les travailleurs algériens par l'usurpation de qualité, dans le faux.
Monsieur le président de la République, du moment que relativement aux modalités d'exercice du droit syndical (loi n° 90-14) la légalité dixit que : 1) les membres d'une organisation syndicale ont les droits et les obligations fixés par la législation en vigueur et les statuts de la dite organisation syndicale.
2) tout membre d'une organisation syndicale a le droit de participer à la direction et à l'administration de l'organisation dans le cadre de ses statuts, de son règlement intérieur et de la présente loi.
3) Les organes de direction de l'organisation syndicale sont élus et renouvelés selon les principes démocratiques et conformément aux statuts et règlements qui les régissent.
Est-ce l'UGTA de Monsieur Sidi Said représente légalement les travailleurs algériens ? Notre réponse est un NON ferme, destiné aux pouvoirs publics, au ministre du Travail et de l'Emploi et de Sécurité sociale, à l'OIT et au BIT s'ils veulent bien nous entendre.
Pourtant la légalité dixit qu'avec ses quinze (15) larges prérogatives organiques, le Secrétaire Général de l'UGTA est responsable sur l'application des statuts et règlement intérieur, il peut prendre des mesures de suspension envers tout syndicaliste fauteur jusqu'à comparution devant un conseil de discipline, un vieux dicton de chez nous dit : Essaki yabda binaffsou. Donc, d'abord suspendez vous Monsieur Sidi Said !
Il est donc prouvé que l'UGTA viole les lois de la République avec la bénédiction de hauts responsables des pouvoirs publics. Si la législation en la matière venait à être appliquée correctement pour l'UGTA, notre affirmation en serait largement confortée. Nous défions quiconque de prouver le contraire de ce que nous avançons à ce moment.
Est-ce admissible que l'UGTA actuellement valide ses comptes de fin d'exercice et budgets annuels, notamment pour l'exercice 2008/2009, avec une CEN fictive et inactive, alors qu'elle possède neuf (9) tâches organiques essentielles en plus de celle d'élire réglementairement chaque année parmi ses membres une commission de contrôle Finances ? Commentçamarche chez vous Monsieur Sidi Said ?
Pourtant la légalité dixit que la gestion financière de l'UGTA obéit aux lois en vigueur ! De même il est dit que tout adhérent qui n'aura pas satisfait à ses obligations statutaires et réglementaires, peut faire l'objet de sanction allant jusqu'à son exclusion des rangs de l'UGTA. Déduction faite au vu de ces graves actes commis au sein de l'UGTA, toute sa CEN est à suspendre, à sanctionner et à dissoudre Monsieur Sidi Said.
Monsieur le président de la République, sur le terrain syndical tout le monde connaît les innombrables dramatiques conflits des instances UGTA, dont certains traînent encore auprès de la justice depuis des années, relatés à leur temps par la presse nationale.
L'antagonisme au sein de l'UGTA perdure autour de la course vers la conquête d'un maximum de privilèges accordés aux fonctions de gestion dans la responsabilité syndicale. Plusieurs instances sont invalides depuis des années, à commencer par l'union de wilaya UGTA d'ALGER, BISKRA, BECHAR, CONSTANTINE, DJELFA, EL BAYED, OUARGLA, SOUK AHRAS, TLEMCEN, SETIF, ILLIZI, SIDI BELABES, TAMENRASSET, JIJEL, etc. Voir détails sur (http://www.lematindz.net/news/2630-algerie-les-syndicalistes-faussaires.html)
L'énigme finale ! Avec quelle base syndicale l'UGTA a fait son 11éme faux Congrès National alors que pratiquement la majorité de ses instances horizontales et verticales Etaient invalides ? D'ailleurs certaines furent renouvelées après ledit 11éme congrès.
Ce qui porte à dire maintenant qu'au sein de l'Etat, de hautes autorités veillent à ce que la loi ne soit pas appliquée avec rigueur pour l'actuelle UGTA, syndicat reconnu officiellement par le pouvoir comme étant l'unique partenaire social représentatif. Une démarche injuste et suicidaire pour nous tous, les auteurs et les acteurs de ce drame.
Monsieur le président de la République, nous terminons en vous prions de nouveau de sauvez vite le droit à l'exercice syndical des mains de cruels opportunistes, pour qui les intérêts des travailleurs n'ont jamais fait partie de leurs préoccupations, ils sont prêts à tout faire (…), pour défendre leurs propres intérêts dans la piraterie syndicale.
Monsieur le président de la République, veuillez agréer notre haute considération.
Signé : M.L Travailleur adhérent UGTA
8.
BRAHIM dit :
13 janvier 2010 à 20 h 24 min
Cher @LEFHEL, Atik Saha ya kho pour ce cri qui te vient des tripes et de celles de la majorité des travailleurs et des citoyens algériens.
9.
Abdelkader DEHBI dit :
13 janvier 2010 à 21 h 26 min
@ — Rédaction : Excusez-moi, la photo est à mon avis un faux, parce que je n'ai pas encore vu de rabbin sans kippa….
10.
Résigné dit :
13 janvier 2010 à 22 h 18 min
»Excusez-moi, la photo est à mon avis un faux, parce que je n'ai pas encore vu de rabbin sans kippa…. »
Sans autres commentaires,
11.
batni dit :
14 janvier 2010 à 4 h 44 min
»Excusez-moi, la photo est à mon avis un faux, parce que je n'ai pas encore vu de rabbin sans kippa…. »
Je dirais même plus. Sans commentaires.
12.
jnsplu dit :
14 janvier 2010 à 19 h 09 min
Erreur ! Les rabbins sont des gens honnetes.
13.
Rbaoui dit :
14 janvier 2010 à 22 h 24 min
La comparaison est mal placee,
Un rabbin ne s'attaque jamais aux siens.
14.
azyz dit :
15 janvier 2010 à 8 h 52 min
coincidence ? cette grève coincide avec le remplacement des bus d'ouyahia du transport des étudiants par ceux de la SNVI
15.
saladin dit :
16 janvier 2010 à 14 h 15 min
Sans revenir ce qui a été dis et surtout l'appel au président de la république par un syndicaliste de l'UCTA sur la farce Reelection de Sidi Said , cet outil du pouvoir pour maintenir la main mise sur le syndicalisme en Algérie . L'UGTA qui ne représente nullement les travailleurs est appelée chaque fois par le pouvoir aux négociations . Je pense que notre internaute Azyz a bien compris puisque il parle du projet de confier le transport des étudiants a Etusa au détriment de Tahkout pour qui c'est une mine d'or qui peut lui échapper , alors crée des problémes pour que les bus ne soient pas livrés a temps a Etusa par la Snvi peut être un scénario pour dire , voila on ne peut confier nos etudiants aux aléas du secteur étatique , ca ne marchera pas , laissons Tahkout travailler . Sidi Said peut jouer tous les rôles que ses mentors lui donneront
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