Il fallait s'y attendre, le FFS ne pouvait survivre à la disparition de son fondateur et ciment, Hocine Aït Ahmed, sans quelques turbulences. Les personnalités fortes comme lui laissent toujours un vide qui peut être parfois fatal à l'équilibre d'une construction dont elles étaient le principal pivot. Mais ça aussi, ça se gère. Après des passages répétés dans la zone des tempêtes, le FFS a décidé d'un congrès pour mettre tout sur la table. Est-ce un clin d'œil programmatique si la date de cette réunion a été fixée au 20 avril, date commémorative du Printemps berbère ? A. T. [email protected]