On ne sait trop comment interpréter la décision plutôt intempestive du Président tunisien de donner un tel coup de pied dans la fourmilière. Est-ce une bonne ou une mauvaise chose ? Lui, en tout cas, doit avoir la réponse et s'il a pris cette décision qui ouvre sur l'inconnu, c'est qu'il avait des raisons impérieuses. La contagion occidentale est interdite, bien évidemment. A. T.