Après un stage hivernal de 10 jours à Sousse en terre tunisienne, la JSMB retrouvera la compétition officielle contre le Doyen, à l'occasion du coup d'envoi de la phase retour du championnat. Les Béjaouis, qui n'ont pas du tout brillé lors de la manche aller, comptent se ressaisir dès aujourd'hui à travers un bon résultat, face au Mouloudia. Le groupe Vert et Rouge qui a rejoint directement la capitale Alger jeudi, en prévision de ce rendez-vous mouloudéen, attendu pour aujourd'hui, se dit prêt pour la bataille et réussir un meilleur résultat pour cette reprise de la compétition. Ayant bien travaillé durant ce séjour hivernal à Sousse, les Vert et Rouge ont hâte de replonger dans la compétition officielle et entamer l'opération de sauvetage du Doyen des clubs kabyles de Ligue 1, désormais menacé par le purgatoire. Les Béjaouis, qui occupent l'avant-dernière marche du classement avec 13 points, à deux points d'avance sur la lanterne rouge, la formation du CRB Aïn Fekroune, veulent s'éloigner rapidement de cette zone rouge. Pour cette opération de sauvetage du club qui commence par cette première journée de la phase retour, le onze, cher à Boualem Tiab, espère repartir avec tout au moins le partage des points contre le MCA. La JSMB, qui s'est quelque peu renforcée avec le retour notamment de Megateli, blessé durant toute la phase aller, Challali, le portier Djabaret et Zeghli, se montre confiante pour relever le défi. Au retour de Tunisie, la JSMB a élu domicile à l'hotel Adghigh dans la capitale, pour permettre un maximum de concentration aux joueurs et réussir un bon résultat. Cette mise au vert de deux jours dans la capitale permettra au driver Vert et Rouge d'apporter les dernières retouches de sa préparation et expliquer son plan d'attaque face au Doyen. Pour ce rendez-vous algérois face au MCA , le driver de la JSMB a convoqué 19 joueurs. Il s'agit de Kacem, Megateli, Zeghli, Mebarakou, Bouabta, Boukemacha, Laribi, Tatem, Hamouche, Meddahi, Neyati, Bouziani, Agoune, Saïghi, Aït Fergane, Chehaïma, Chalali et Messara. A. Kersani