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Le Soir du Centre
BOUIRA Plus de 170 dossiers d'investissement en attente d'agrément
Publié dans Le Soir d'Algérie le 28 - 04 - 2014

Considérée comme l'une des plus attirantes de par sa situation géographique tant elle est placée à quelques kilomètres de l'autoroute Est-Ouest, et à moins d'une heure de la capitale, la zone industrielle de Sidi-Khaled, dans la wilaya de Bouira, est très convoitée ces derniers temps par les industriels, surtout ceux issus des wilayas limitrophes comme Alger, Béjaïa et Tizi-Ouzou.
Ce jeudi, lors de sa sortie sur terrain, le wali de Bouira, Nacer Maskri n'a pas cessé de rappeler aux investisseurs qui ont eu la chance de figurer parmi les heureux bénéficiaires d'un lot dans cette zone, de la nécessité de lancer au plus vite leurs projets sous peine de se voir retirer l'agrément et à l'Etat de récupérer le terrain pour l'octroyer à d'autres investisseurs. En effet, lors de cette visite, le wali a indiqué qu'ils sont plus de 170 investisseurs à avoir déposé leurs dossiers auprès du Calpiref en vue d'agrément pour s'implanter dans cette zone. Une zone qui s'étend sur 225 hectares et qui vient de bénéficier d'une extension sur 190 hectares, faisant d'elle l'un des premiers pôles industriels à l'échelle nationale avec un total de 415 hectares. Aussi, la visite de ce jeudi était-elle, outre le suivi et l'inspection des projets en cours de réalisation ou en activité, l'occasion pour le wali d'inspecter l'état d'avancement des travaux d'aménagement et de viabilisation de cette zone. Il faut rappeler que cette visite a été précédée par une réunion de coordination que le wali avait organisée la veille en présence de tous les partenaires impliqués dans la viabilisation de cette zone, à partir du responsable de la gestion de cette zone, l'Aniref, aux directeurs de l'exécutif comme le D/PME, le DUC, le DSA, le cadastre, les domaines, le DRE, l'environnement, le Drag, les P/APW et le P/APC de la commune d'Oued El Berdi, commune qui abrite cette zone industrielle. Aussi, lors de la visite sur terrain le lendemain, le wali a insisté auprès des différents intervenants pour que cette zone soit un véritable pôle industriel intégré, avec un aménagement et une viabilisation exemplaires, et plus que cela, un pôle où il doit y avoir un cadre de vie agréable avec, et cela est inscrit sur son insistance, une zone de services où figureront des restaurants, des cafétérias, et bien d'autres commodités. Le wali s'est inspiré, pour ce faire, de l'exemple d'un investisseur étranger qui est déjà établi sur les lieux, à savoir un Chinois, qui a créé une base de vie, où l'on peut trouver sur place un restaurant, une cafétéria, une salle de conférences, une aire de jeux, un terrain de football, et même une piscine. Ainsi, le prenant à témoin, le wali a invité les autres investisseurs à imiter les Chinois et créer un cadre de vie agréable pour leurs futurs employés, avec des espaces de détente et même, pourquoi pas, des constructions en hauteur pouvant aller jusqu'à des R+3 sous forme de célébatoriums et autres chambres pour les cadres et les fonctionnaires, à condition que cela ne soit pas assimilé à des logements de fonction en famille. Cela étant, il est utile de rappeler que lors de cette visite, le wali a rencontré l'ensemble des investisseurs établis déjà sur les lieux et qui sont au nombre de 72 dont certains sont opérationnels, d'autres en cours de réalisation comme Sovac qui va faire le montage des véhicules industriels, et qui promet le démarrage de cette usine vers juillet prochain avec à terme la création de plus de 2 000 emplois directs ; l'entreprise chinoise que nous avons évoquée plus haut et qui promet la création de 600 emplois dont 500 nationaux et 100 étrangers, avec la priorité pour la main-d'œuvre locale pour les postes ordinaires. Il y a également Ifri Bio qui promet la création de 500 emplois, les différentes marques nationales comme La Belle, le groupe Cevital, ou encore étrangères comme Henkel, et un investissement émirati... Enfin, rappelons que, si pour la plupart des investisseurs qui ont la chance d'avoir des agréments, le wali s'est montré satisfait de l'état d'avancement de leurs projets, si au cours de cette visite, le wali a souligné l'importance de se présenter en groupes pour certaines demandes de raccordement comme celles de l'électricité et du gaz, de l'eau potable et industrielle, le téléphone et l'internet, si le wali a donné pour certains, des autorisations temporaires pour le forage afin d'exploiter l'eau souterraine avant l'arrivée des eaux du barrage, cela n'a pas empêché le premier magistrat de la wilaya d'avertir certains investisseurs et de les menacer de retrait d'agréments au cas où ils ne lanceraient pas leurs travaux dans l'immédiat. Cela outre sa décision, arrêtée déjà, quant au retrait de sept agréments pour certains investisseurs qui ont épuisé toutes les voies de recours avec trois mises en demeure sans suite au sujet du non-lancement de leurs projets.
Y. Y.
CONSEQUENCE DES TERGIVERSATIONS AU NIVEAU GOUVERNEMENTAL
La construction du barrage des Issers compromise ?
Jeté aux oubliettes depuis plusieurs années, le projet de construction du grand barrage de Oued Djemaâ, au sud-est de la commune des Issers, dans le centre de la wilaya de Boumerdès, tarde à être lancé.
Nous avons questionné à ce propos le ministre des Ressources en eau, Hocine Necib, jeudi dernier, lors de sa venue à Boumerdès. La réponse du ministre est encore hésitante. «Le barrage de Djemaâ est effectivement une grande infrastructure dont les études ont été finalisées dans les années 1990. J'ai décidé, avec le wali, d'envoyer en cours de semaine une commission sur place. Cette commission aura juste pour tâche d'évaluer les contraintes puisque depuis 20 ans le site a subi des variations, et ce, malgré l'interdiction de construction. Si ces contraintes ne compromettent pas la réalisation de ce projet, nous allons l'inscrire dans le prochain plan quinquennal. J'y tiens personnellement. Ce barrage est une grosse infrastructure qui va certainement apporter une valeur ajoutée au réseau hydraulique de la région algéroise», dira-t- il. Par contraintes, il faut comprendre surtout l'occupation humaine de la surface du bassin de ce projet. En la matière, l'Etat, par le biais de son institution primaire, l'APC en l'occurrence, n'est exempt de tout reproche puisque la collectivité en question a construit, entre autre, une école. Cela devient de l'obstruction délibérée aidée par le laxisme du gouvernement.
Les difficultés en AEP du piémont de Boumerdès
A l'occasion, nous avons interrogé le ministre, qui était accompagné du wali Kamel Abbès, au sujet du déficit de l'alimentation en eau potable des villes et villages du piémont de la wilaya de Boumerdès comme Timezrit, Chabet-El-Ameur, ... alors que la wilaya a la chance, comme l'a rappelé le ministre, de posséder trois grosses infrastructures structurantes (station de dessalement, conduite de Taksebt et système et barrage de Keddara). Est-ce que le ministère financera l'installation des équipements pour acheminer l'eau vers ces localités ? Le ministre a saisi au vol notre question pour donner plus de détail en ce qui concerne cette région. «Permettez-moi de mettre la situation de ces localités à jour. Il y a d'abord Timezrit, Chabet-El- Ameur ainsi que tous les centres ruraux se trouvant au sud des Issers, Bordj-Menaïel et Naciria (Laâziv ndlr) au nombre de 152 pour lesquels j'ai pris l'engagement de dégager les financements nécessaires, soit 240 milliards de centimes pour régler leurs problèmes. Plus encore, les appels d'offres ont été lancés et des entreprises en voie de sélection. Donc, les travaux seront lancés dès le mois de mai prochain. Au plus tard, dans 18 mois, toutes ces localités recevront l'eau. L'autre point que nous allons prendre en charge concerne Keddara et Kherrouba. Les études les concernant sont en cours. Et l'année prochaine, nous allons inscrire le projet pour ces deux localités afin de les alimenter d'une manière durable. S'agissant d'Ouled Aïssa, une chaîne est en cours de réhabilitation pour renforcer les capacités de cette commune. Nous avons la volonté d'aller dans tous les villages et donner l'eau à tout le monde.» Pour rappel, au cours de sa visite, le ministre a mis en service quatre stations de pompage pour renforcer l'alimentation de plusieurs communes. En cette période d'avant la nomination du nouveau gouvernement, il est de bonne guerre pour un ministre de montrer à travers des actions médiatisées des choses positives.
Abachi L.
AIT-AMRANE (BOUMERDÈS)
Les drapeaux célébrant la JSK et le Printemps berbère confisqués
Encore une autre provocation de la police envers des jeunes de Kabylie mais, cette fois-ci, avec la bénédiction de l'autorité civile locale. Dans la nuit de jeudi, des supporters de la Jeunesse sportive de Kabylie (JSK) de la ville d'Aït-Amrane, dans le centre de la wilaya de Boumerdès, qui est connue et reconnue comme étant un fief de la JSK, nous ont appelés «pour dénoncer cette provocation contre eux». Les faits : ces supporters préparent la grande fête de la finale de la Coupe d'Algérie en y met tant un e grande ambiance festive en ville, ils ont par ail leurs installé des drape aux e t d'énormes banderoles aux couleurs de leur club préféré. «Ils ont égayé la ville déjà triste», estime un citoyen de la localité. Ces fans ont choisi le centre-ville et le pont au-dessus de la RN5 pour suspendre leu rs couleurs. Bien entendu, pour la majorité des fans du club de Kabylie, les couleurs de la JSK ne vont pas sans les couleurs du Mouvement amazigh. «La police locale a enlevé toutes les banderoles et les drapeaux qui rappellent l'amazighité. Donc, la grande partie de nos drapeaux. Les policiers ont utilisé un engin de l'APC pour pouvoir monter à hauteur de nos couleurs et les enlever. Le maire est donc d'accord avec cette action illégale», diront au téléphone plusieurs supporters. Leur colère est à peine contenue. Une autre source nous a affirmé que cette action, jugée répressive par les supporters, n'a été décidée qu'après avis favorable du maire. Pour rappel , le premier magistrat d'Aït-Amrane, Ahmed Afra, est élu sur la liste du Fron t des forces socialistes (FFS). Ce vendredi, nos tentatives pour le contacter sont malheureusement restées vaines. En fait, en vertu de quelle loi la police s'est-elle arrogé le droit d'interdire aux supporters de la JSK de faire la fête à Aït-Amrane et de marquer leur appartenance sportive et culturelle ? Dans ce cas, pourquoi la police de Tizi- Ouzou ou des autres localités du pays n'enlèvera-elle pas les couleurs qu'elle jugera non conformes à sa conception du véritable supporter ? Les couleurs du Mouloudia d'Alger (MCA), l'adversaire de la JSK en finale de la Coupe d'Algérie, qui ont, tout le monde le sait, une connotation culturelle, historique et politique sont-elles désormais interdites sur le territoire national ? Quand un policier s'érige en censeur culturel ou politique, cela conduit vers la dérive.
A. L.
DAMOUS (TIPASA)
Démantèlement d'une bande de malfaiteurs
La cellule de communication de la police de Tipasa vient de rendre public un communiqué dans lequel elle révèle les circonstances du démantèlement d'une bande de malfaiteurs. Selon ce communiqué, il s'agirait du vol avec effraction d'un logement situé dans la ville de Damous, distante de 150 kilomètres d'Alger. La propriétaire de ce logement est une dame émigrée en France. A l'intérieur de ce logement, se trouvaient plusieurs objets de valeur, notamment des appareillages électroniques et électroménagers ainsi que de l'outillage. Dans ce communiqué, il a été précisé qu'avant-hier, un plaignant répondant aux initiales de A. Z. et frère de la propriétaire émigrée, s'était adressé aux services de la police de Damous pour déclarer le vol. Les policiers, ayant pris l'affaire en charge, auraient ciblé les personnes et les lieux suspects. Après une surveillance soutenue , un premier suspect fut intercepté et il avoua le nom du cerveau de la bande. Il s'agissait de B. M., un délinquant résidant à Damous. La bande composée de cinq personnes a été vite interceptée et placée sous mandat de dépôt. Le procureur près le tribunal de Cherchell, après examen des éléments du délit, décida de placer le chef de la bande au sein de la prison de Sidi-Ghilès et le restant de la bande bénéficia d'une citation à comparaître directe. Il convient de préciser que l'ensemble des produits volés a été récupéré.


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