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1er JOUR DE LA SESSION PARTIELLE DU BAC
Sans incidents et sans internet
Publié dans Le Soir d'Algérie le 20 - 06 - 2016

Début, hier, des épreuves partielles du bac avec la filière de l'histoire-géo. Une épreuve jugée plutôt abordable par les candidats. Le premier jour, qui s'est déroulé sans incidents, a été caractérisé par une forte perturbation d'internet. Le ministère de l'Education a employé les grands moyens pour empêcher de reproduire le scénario de la session du mois de mai dernier.
Salima Akkouche - Alger (Le Soir) - Les candidats au bac des filières touchées par la fuite des sujets sont retournés depuis hier aux centres d'examens. La filière de l'histoire-géo était la première filière sur laquelle les candidats ont planché durant ce premier jour. Tout comme le sujet de la première session, le sujet de l'examen de cette deuxième session a été jugé abordable.
«Pas de grande différence par rapport au premier sujet de la session du mois de mai dernier, c'est le même style de questions», nous confie une candidate à sa sortie de la salle d'examen dans un lycée situé à la place du 1er-Mai, Alger.
D'ailleurs, aucune marque de stress ou de colère ne se lisait sur les visages des candidats, à leur sortie des classes d'examens, aux environs de 11h00. C'est plutôt un climat de bonne ambiance de copains qui se retrouvaient qu'on a constaté.
Repasser son examen était-il vécu comme une angoisse ? La mesure des épreuves partielles ne semble pas déranger les candidats. Non, cela ne leur a posé aucun problème, selon des témoignages. Pour réussir cette deuxième session des épreuves partielles, le ministère de l'Education nationale a utilisé les grands moyens. Ainsi l'accès aux réseaux sociaux, à la 3G et autres moteurs de recherche a été bloqué depuis samedi sur tout le territoire national. Le département de l'éducation qui a assuré depuis une semaine qu'il garantira un risque zéro fuite semble tenir ses promesses. Rien n'est venu perturber le premier jour des épreuves. Mais rien ne garantit la suite.
Les épreuves vont se poursuivre jusqu'à jeudi, en particulier pour les candidats issus de la filière scientifique où sept de leurs matières ont fuité. Pour rappel, lors de la première session du bac du 29 mai dernier, les deux premiers jours se sont déroulés sans couacs. Les perturbations sont intervenues au bout du troisième jour, avec la fuite du premier sujet de l'examen sur les réseaux sociaux. La suite a été incontrôlable avec une fuite massive du reste des sujets. Ce qui a contraint le gouvernement de décider de refaire partiellement les épreuves touchées par la fuite.
Une enquête a été déclenchée par la suite pour démasquer les auteurs. Cette situation a été qualifiée d'un crime contre le pays par la ministre de l'Education.
L'Onec, l'office chargé de l'organisation de cet examen était le premier organisme à avoir été pointé du doigt. Quatre de ses responsables sont sous mandat de dépôt et l'enquête est toujours en cours.


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