Pour se rendre du centre-ville vers les cit�s sud de Dra�-Ben-Khedda et vice-versa, il n'y a, pour le pi�ton, que quelques acc�s, dont les plus emprunt�s (2) sont impraticables en hiver sans d'�tanches bottes. Il s'agit des raccourcis du centre-ville, � proximit� de la grande mosqu�e et du march� de fruits et l�gumes, longs de quelques centaines de m�tres et se transformant en patinoire � la moindre averse. Les femmes, les travailleurs, les �coliers, se rendant vers la station de transport (cit� Khellil) o� y descendant pour regagner leurs maisons, ainsi que les fid�les d'�ge avanc�, accomplissant quotidiennement les cinq devoirs spirituels � la grande mosqu�e, sont particuli�rement touch�s par les d�sagr�ments de ces pistes, notamment la principale, boueuse, et o� l'usager est contraint de patauger en retroussant robes et pantalons tout en s'obligeant � quelque prouesses d'�quilibriste pour �viter les chutes. Le sable �tal� occasionnellement sur cette piste devient inutile aussit�t pos� avec les va-et- vient des v�hicules de marchants de fruits et l�gumes, l'embourbant derechef. En �t�, cet acc�s cause des nuisances d'une autre forme aux riverains par ses nuages de poussi�res soulev�es par les m�mes v�hicules. Et comme les longs d�tours ne semblent pas suffirent comme d�sagr�ments � l'usager, la SNTF a entam� la cl�ture de la voie ferr�e de part et d'autre et ce, sur plusieurs centaines de m�tres, laissant tout juste quelques passages provisoires, alors que les usagers s'attendaient au placement d'abord de passerelles.