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SAISON ESTIVALE A AZEFFOUN
Les estivants balay�s par les vents du cap
Publié dans Le Soir d'Algérie le 21 - 08 - 2005

La station de fourgons de Fr�ha, principal passage des estivants vers la ville baln�aire d�Azeffoun, � 9h30 mardi dernier. Le fourgon de t�te d�une interminable cha�ne, de marque KIA, n�a pas mis 10 mn pour embarquer les douze passagers. Les porti�res se ferm�rent et le chauffeur d�marra. Nous sommes all�s pour un trajet de 32 km vers le nord, vers la mer.
Selon le chauffeur qui nous expliquait que les rotations entre les deux villes demeurent intenses jusqu�aux environs de 14h. A ce moment, la destination d�Azeffoun se tarira dans les deux sens aller et retour pour reprendre de plus belle vers la fin de l�apr�s-midi avec le retour des baigneurs. M�me tard dans la soir�e, il y a toujours des retardataires � acheminer et ce, jusqu�� la tomb�e de la nuit. En cette matin�e d�ao�t, le soleil � peine sorti de son lit, dardait d�j�. La voie �tait libre et un panorama de la Kabylie int�rieur fait de mille et une collines, � un jet de pierre de la Mediterran�e, sous bois�e s�offre aux yeux des visiteurs. Un tableau magnifique que seule la folie pyromane a assombri par plusieurs endroits. La route dont la chauss�e en bon �tat serpente et d�dale dans ce relief o� jadis le GIA avait sem� la mort, rackets et exactions de tous genres. Aujourd�hui, les armes terroristes se sont presque tues mais le souvenir demeure vivace. Arriv�s � hauteur du village Issoumat�ne la chauss�e avait �t� compl�tement d�truite et refaite � l�endroit o� les hordes du GSPC ont fait explos� deux bombes, sans faire de victime heureusement, au d�but de la saison estivale et � l�occasion de la tenue annuelle du s�minaire m�dical organis� par l�h�tel El-Marah. Un attentat qui a influ� fort n�gativement sur le d�roulement de la saison estivale. D�pass� ce lieu sinistre, la mer bleue apparut houleuse.
Azeffoun, ville en f�te ?
Azeffoun, une ville en f�te, c�est l�impression qui se d�gage lorsqu�on entre dans la ville par l�ouest surtout. Une multitude de petits drapeaux de toutes les couleurs attach�s aux fils traversant la RN 24 ou des deux c�t�s de la route, les terrasses des caf�s bond�es de monde, les commerces saisonniers exposant toutes sortes de marchandises pr�parent leurs journ�es, les voitures de luxe gar�es dans les parkings, la musique, les premiers groupes de familles, parasol roul� sous le bras du patriarche en route vers la plage du Caroubier... bref un faux air de f�te de chez nous. Arriv�e dans la ville � 10h20, en empruntant le CW 158, seule bretelle de la RN 24 qui relie l�ex-village colonial � la mer, un village o� l�arbre centenaire, l�eucalyptus notamment dispute la moindre parcelle de terrain au b�ton envahissant. A peine le pied pos� � terre que nous sommes surpris par une foule bigarr�e o� se m�lent l�autochtone, l�Alg�rois et l��migr�. La petite ville a d� mal � contenir tout ce beau monde qui s�y bouscule et g�ne la circulation automobile. Surpris par cette foule des grands jours, nous demand�mes � un cafetier de la place est-ce que le taux de fr�quentation de la localit� est toujours aussi dense durant toute la saison estivale ? La r�ponse de notre interlocuteur est des plus surprenante. En effet, malgr� tout le beau monde �la saison estivale en cours est la plus mauvaise de toutes ces cinq derni�res ann�es�. Par la suite, cette constatation, nous l�avons rencontr�e chez tous nos interlocuteurs. En r�alit�, l�image �tait encore une fois trompeuse. D�autant plus que le lieu de notre escale situ� � quelques m�tres du si�ge de l�APC o� se concentre les librairies, et que notre arriv�e co�ncidait avec celle de la presse. Aussi, c�est tout le monde qui sort de son coin pour acheter son journal. Et moins d�une demi-heure plus tard, les rues se vidaient et le trafic routier redevint, de nouveau, fluide dans l�ex-Port Gueydon. Mais pour en �tre pr�cis, voyons de plus pr�s ce que c�est que la saison estivale cette ann�e dans la ville d�Azeffoun, dont le nom veut dire le cap des vents dans notre langue.
Animation et taux de fr�quentation
L�animation artistique et culturelle est quasiment nulle durant l�actuelle saison estivale. Selon les informations en notre possession, l�APC n�a pas �labor� avec les diff�rents partenaires sociaux le programme destin� � �gayer les soir�es des visiteurs. Aussi, ces derniers n�ont le choix qu�entre une balade nocturne au port toujours en construction dont la livraison ne cesse d��tre repouss�e dans le temps ou encore une veill�e sur les galets de la plage du centre, en retrait de la fosse septique � ciel ouvert ou encore de s�attabler � une terrasse de caf� pour prendre une glace ou siroter une limonade. Les h�tels de la ville n�affichent plus complets comme il est de coutume en cette p�riode de l�ann�e sauf les week-ends. Durant les pr�c�dentes saisons, le client devait r�server sa chambre plusieurs journ�es d�avance tellement l�engouement �tait important. A cela il faut ajouter le fait que la ville n�a accueilli aucune colonie de vacances ni un camp de toile pour jeunes ou familles. Dans le registre de la fr�quentation des plages d�Azeffoun, particuli�rement celles du Petit-Paradis et du Caroubier, les seules surveill�es par les �l�ments de la Protection civile qui rel�vent les estimations du nombre des visiteurs quotidien et en comparaison � l�affluence de l�ann�e derni�re, pour les mois de juin et juillet, globalement les chiffres resteront presque identiques. Ils tournent autour de 700 000 personnes. Mais la diff�rence est dans les 200 000 baigneurs qu�avait accueillis la plage du centre l�an dernier aujourd�hui ferm�e. De plus, cette plage fr�quent�e essentiellement par des familles faisait marcher tous les commerces saisonniers ou permanents qui s�y agglutinent sur le boulevard des fronts de mer. Les autres estivants qui prennent la destination des autres plages de la localit� ne font que passer par le bas de la ville sans qu�aucun commer�ant retire le moindre dinar de sa poche. D�ailleurs, tous les tenants des commerces dans cette partie de la ville d�plorent un manque � gagner. Force est de reconna�tre que lors de notre tourn�e, les acheteurs ne se bousculent pas. Toutes les boutiques cherchent d�sesp�r�ment clients. �Je mets au d�fi tout commer�ant saisonnier qui dira que je ne suis pas d�ficitaire cette ann�e. Je revends au prix d�achat et �a ne marche pas�, nous avoue Mustapha, un jeune vendeur du pr�t-�-porter et des effets de plage. Pour notre interlocuteur, les raisons de l��chec de la saison sont multiples. D�abord il y a la responsabilit� des ex-autorit�s locales qui n�ont pas proc�d� � l�ass�chement du r�seau des eaux us�es qui a caus� de facto la fermeture de la plage du centre, vient ensuite l�impact de l�attentat terroriste manqu� au d�but de la saison et qui a �branl� s�rieusement son d�roulement. Et enfin, les conditions climatiques d�favorables qui ont caract�ris� presque toute la saison de l��t�. En effet, Azeffoun n�a peut-�tre jamais m�rit� autant son appellation de cap des vents, comme dans cette matin�e de mardi dernier.
Que de plages non surveill�es...
Contrairement � la station baln�aire voisine de Tigzirt-sur-Mer dont l��troite bande c�ti�re de 6 km environ, compos�e de trois plages toutes surveill�es, Azeffoun s��tire sur une quarantaine de kilom�tres du littoral et rec�le de nombreuses petites plages magnifiques dont deux uniquement sont surveill�es, le Caroubier et le Petit-Paradis situ�es � 25 km � l�est de la commune des A�t Chafa�. La plage du Caroubier reste la plus lotie d�Azeffoun. L�APC l�a dot�e d�un bloc sanitaire pour prodiguer les premiers soins d�urgences aux bless�s, d�une unit� de la Protection civile charg�e de la surveillance des baigneurs et de leur assistance. Les autorit�s locales ont �galement construit dix gargotes dot�es d��lectricit� et de l�eau courante. La plage du Petit-Paradis, en revanche, situ�e en zone rurale, ne se distingue pas par les investissements de l�APC pour rendre le s�jour agr�able des familles qui s�y rendent mais par le fait qu�elle est livr�e aux mains des bootleggers. Pour ce qui est des plages non surveill�es, en t�te du g�chis figure celle de Mlalta faite de galets et o� avait �chou�, il y a quelques ann�es, une baleine. Cette derni�re accueillera bient�t une ferme d�exploitation agricole. La construction des hangars de la ferme est achev�e mais leur entr�e en exploitation n�est s�rement pas pour demain. Dans les saisons � venir, le site sera probablement r�serv� enti�rement � l�industrie du poisson d��levage. Mais pour le moment, la plage reste ouverte aux baigneurs aventuriers. Dans la r�gion des A�t Rhouna un peu plus � l�ouest, les plages d�Amarigh et Tamjoujit en contre-bas du village Taboudoucht qui a vu na�tre et grandir le c�l�bre peintre M�hamed Issiakhem, ne sont pas �galement surveill�es ni dot�es du minimum de moyens. Ou encore vers l�est, la magnifique plage de Sidi-Khelifa sur laquelle le vigile Djaout veille depuis sa demeure �ternelle d�Olkhou, n�a rien � envier au sort des deux pr�cit�es. Pour en savoir plus sur ces plages non-surveill�es, nous avons interrog� notre source au sein de l�APC � ce propos. Notre interlocuteur nous avait alors expliqu� que pour ce qui est de la plage de Sidi- Khelifa, la plus importante d�entre elles, le probl�me est sa profondeur qui ne manquera pas de cr�er un danger permanent pour la vie des baigneurs. Pour ce qui concerne les autres, leur situation en dehors du p�rim�tre urbain ainsi que leurs tailles de quelques dizaines de m�tres dans le meilleur des cas ne sont pas faits, pour aider la commission de wilaya, qui passe avant chaque d�but de saison estivale recenser les plages � les doter d�un dispositif de surveillance. Par ailleurs, il est utile de signaler que jusqu�� ce jour, la mer a fait deux victimes dans la da�ra d�Azeffoun. Elles ont perdu la vie dans des coins non surveill�s � Sidi-Khelifa et au lieudit le �Bateau Cass� dans la plage du Petit-Paradis.
L�hygi�ne : la tare de la ville...
R�cemment, la commune d�Azeffoun s�est dot�e d�un camion de ramassage des ordures m�nag�res � benne tasseuse qui couvre tout le p�rim�tre urbain et m�me la plage du Caroubier pour assurer sa propret�. Aussi, la petite ville demeure avec ses ruelles plus au moins propre. Lors de notre tourn�e dans cette ville construite sur une colline d�limit�e par deux ravins et qui pousse sa pente raide jusqu�au ras de l�eau, nous n�avons pas remarqu� la pr�sence des tas d�ordures sur les trottoirs que squattent d�ailleurs les diff�rents vendeurs de fruits et l�gumes et autres oiseaux de compagnie. Mais pour ce qui est de l�hygi�ne des plages, cela est une autre paire de manches. La plage du centre a �t� interdite � la baignade, cette ann�e, � cause de la pr�sence des eaux us�es dans les galets et qui finissent leurs courses dans la mer. Habituellement, avant chaque d�but de la saison estivale, l�APC proc�dait � l�ass�chement du r�seau des eaux us�es inondant cette plage. Pour ce faire, les autorit�s locales creusaient � l�aide d�excavateurs des fosses septiques distantes de quelques m�tres les unes des autres tout au long de l�oued Tafrast et provoquer ainsi son ass�chement avant le passage de la commission de la s�lection des plages � autoriser � la baignade. Seulement, cette ann�e, l�ex-APC �tait beaucoup plus pr�occup�e par son sort incertain � la t�te de la localit� que par tout autre chose d�utilit� publique. C�est ce qui a donn� lieu � la regrettable situation. N�anmoins, une bonne nouvelle. Le probl�me des eaux us�es de la ville d�Azeffoun sera d�finitivement r�gl� avec la mise en service de la station d��puration dont le taux de l�avancement des travaux a atteint les 80%. Situ�e loin de la ville et en retrait des habitations et des plages, elle sera dot�e de deux stations de refoulement, l�une au bord de l�oued Tafrast et l�autre au niveau de l�oued Gourar. Ces derni�res seront r�alis�es avec l�ach�vement de la conduite principale d�assainissement qui est, en outre, en train de se r�aliser. A l�avenir, m�me les entreprises de la zone d�activit�, situ�e non loin de la station d��puration, auront recours aux services de cette derni�re. La zone d�activit�, g�r�e par l�Office de la promotion de l�investissement et qui �chappe totalement � l�APC est destin�e, en principe, � ne recevoir que des usines non polluantes. Pour l�heure, seules deux entreprises ont ouvert leurs portes. Il s�agit de la biscuiterie Biscal qui emploie une quarantaine de personnes et d�une autre unit� de transformation d��l�ments de b�tail qui tourne avec dix employ�s.
Azeffoun devient trop ch�re ?
Selon les informations recueillies sur place, les visiteurs qui se rendaient � Azeffoun se distinguent par le fait qu�ils repartent avant la tomb�e de la nuit. Ce qui autorise � penser qu�ils sont de la r�gion et que les familles qui arrivaient de diff�rents horizons du pays pour y s�journer le temps des vacances jadis ont pris d�autres destinations. Par le pass�, de nombreuses familles alg�roises notamment passaient leurs vacances d��t� dans le cap en louant des appartements que les autochtones, soucieux de rentabiliser leur habitation, mettaient � leur disposition � raison de 30 000 DA le mois en moyenne. A pr�sent, un appartement co�te la somme de 50 000 DA le mois au minimum. Au fait, le prix d�pend du lieu de sa situation et de commodit�s dont dispose l�habitation. En g�n�ral, les locataires s�installent sur la p�riph�rie, descendent � la mer et au soir, de retour, ils ne d�couvrent aucune goutte d�eau pour rincer le corps et se d�barrasser du sel. Ramener de l�eau devient leur sport quotidien. Notre source au sein de l�APC nous a pr�cis� que la localit� d�Azeffoun est aliment�e � partir des forages de Sidi-Khelifa. Les habitants apostroph�s nous r�v�lent qu�ils ne disposent pas de l�eau � volont�. La commune d�Azeffoun dont la superficie est de 12 660 hectares pour 20 000 �mes voit sa population se multiplier durant le quart chaud et bien s�r la consommation de la denr�e rare augmente aussi. Et cela cause des p�nuries dans le p�rim�tre urbain. Par ailleurs, les villages de la partie ouest tels que A�t Rhouna, Oumaden, et autres A�t Yahia continuent toujours de supplier les vieilles fontaines, malgr� les richesses ind�niables en ressources hydriques de leur localit�. Une autre d�faillance qui a certainement pes� lourd dans la fuite des estivants et les pannes fr�quentes du r�seau �lectrique v�tuste. En une panne survenue la nuit ne sera r�par�e que le lendemain. Car, la Sonelgaz qui a b�n�fici� des locaux de l�ex-entreprise communale n�a pas jug� utile de maintenir une �quipe de d�pannage dans la da�ra d�Azeffoun mais juste un minuscule bureau pour les besoins d�acquittement de factures de consommation d��nergie. Aussi, apr�s chaque panne une �quipe de maintenance sera d�p�ch�e de Tigzirt pour la r�parer.


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