Par Arris Touffan Après Mohamed Arkoun, c'est au tour d'Assia Djebar d'accrocher son nom au fronton d'une bibliothèque... parisienne. Deux façons de voir la chose. 1. C'est bien que nos grands écrivains soient reconnus même à l'étranger. 2. C'est, évidemment, une façon pour Hizb França de récupérer notre élite qui ne demande qu'à se fondre dans la servitude germanopratine. Les tenants de la seconde vision ne se demandent jamais pourquoi l'Algérie n'honore pas elle-même ses élites. A. T.