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CHLEF.. Le casse-tête des ralentisseurs anarchiques
Publié dans Le Temps d'Algérie le 19 - 06 - 2019

Ces dos-d'âne dérangent les usagers de la route, car ne répondant pas aux normes voulues, ce qui engendre une situation qui demeure inchangée face à l'absence de toutes mesures visant à réguler ce phénomène.
Les transporteurs en commun activant sur la ligne des communes Taougrite-Aïn Merane sur le CW-102 au nord-ouest de la wilaya de Chlef se sont plaints des nombreux ralentisseurs anarchiques qui se côtoient sur de petites distances. Ces derniers temps, des ralentisseurs ont été installés par les habitants eux-mêmes, dans plusieurs quartiers ou villages. C'est une solution facile ou un moyen de prévention choisi et improvisé pour éviter les accidents de la route et qui ne respecte aucune norme. Après chaque accident, on procède à l'installation des dos-d'âne chacun à sa manière une façon de satisfaire et calmer les esprits des citoyens qui se manifestent en bloquant la route. Ces dos-d'âne dérangent les usagers de la route, car ne répondant pas aux normes voulues, ce qui engendre une situation qui demeure inchangée, face à l'absence de toutes mesures visant à réguler ce phénomène.
Mal conçus, ces modérateurs ont des formes très variées, parfois ils sont soit trop hauts, soit trop courts avec souvent des angles déformés ou pointus pouvant causer des préjudices aux véhicules. Selon les transporteurs, «sur une petite distance nous avons compté 17 dos-d'âne anarchiques qui ne répondent pas aux normes. Ils ont des formes très variées ; ils sont trop hauts ou trop courts, trop pentus ou trop agressifs. Même les ruelles ont leurs dos d'âne. Certains conducteurs ont abîmé leur minibus en arrivant trop vite. Il est vrai que pour les franchir en toute sécurité, le véhicule doit être quasiment à l'arrêt. En plus de la dégradation du réseau routier, les automobilistes de la wilaya de Chlef se plaignent aussi de la multiplication des ralentisseurs anarchiques. Ces bosses casse-vitesse qui rythment notre quotidien sont un véritable problème des automobilistes, mais les autorités les multiplient.
Dans tous les cas de figure, ce sont nos amortisseurs qui trinquent, mais aussi la suspension avant et arrière, les carters d'huile, les cardans, les pare-chocs. La fonction d'un dos-d'âne est de ralentir, pas de détruire un véhicule. La logique voudrait qu'un ralentisseur soit signalé au préalable par panneau. C'est rarement le cas et c'est d'ailleurs irresponsable, surtout lorsque l'on sait que les deux-roues risquent d'être surpris en roulant trop vite sur un dos-d'âne quand la visibilité est réduite (la nuit par exemple)». Certains ralentisseurs ne ressemblent pas à des dos-d'âne mais plutôt à des déformations de chaussée. A l'origine, un ralentisseur est censé se trouver dans un endroit sensible comme la sortie d'une école, au centre-ville, ou sur une artère fréquentée par les piétons, mais pas sur une voie rapide», s'exclament les transporteurs protestataires.


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