Interrogé sur le niveau de relation bilatérale tissée entre Alger et Paris, Mourad Medelci, ministre des Affaires étrangères, a affirmé que cette relation est actuellement marquée par une période d'observance durant laquelle Alger comme Paris évaluent les progrès réalisés par chacun des deux pays. Medelci conseille que la relation avec la France soit libérée de la pesanteur historique pour plus de coopération, notamment dans le domaine de la circulation des personnes. Medelci persiste et signe : le rapport tissé avec la France est purement «une relation d'intérêt».