23 750 détenus poursuivent leurs études au sein des établissements pénitentiaires alors qu'ils ne dépassaient pas 2255 inscrits au début des réformes engagées par le secteur de la justice en 2002. Les chiffres avancés jeudi par le directeur général de l'Administration pénitentiaire, Mokhtar Felioune, lors d'un atelier international sur le rôle du mouvement des scouts dans l'insertion des mineurs et jeunes détenus, traduisent les réformes qui ont porté un intérêt particulier à la promotion des programmes de tous les cycles de l'enseignement général et de la formation professionnelle.