Pour Joël Toujas-Bernaté, chef de la mission du FMI, l'affaire Djezzy, objet d'un litige entre l'Etat algérien et Orascom Telecom Holding n'aura pas d'effets significatifs sur le climat général des investissements étrangers en Algérie. «Ce n'est pas forcément ce type d'affaire qui est plus significatif pour l'environnement global des affaires en Algérie», a-t-il indiqué lors d'une conférence de presse consacrée à la présentation du rapport de cette mission sur l'Algérie. Le plus important, a-t-il ajouté, «est de voir comment des investisseurs, même de plus petite taille, peuvent venir et trouver des partenaires au sein de l'économie algérienne». Autrement dit, l'affaire Djezzy qui fait couler beaucoup d'encre n'aura pas d'impact dissuasif sur le climat des investissements étrangers en Algérie.