Plusieurs journalistes ont été choqués par les atrocités commises par l'entité sioniste dans la bande de Ghaza. Les tueurs d'enfants, les criminels et sataniques dirigeants d'Israël n'ont laissé aucun répit aux Ghazaouis, car ayant été stoppés dans leur manœuvre machiavélique par une farouche et courageuse résistance palestinienne. Khadija Benguena, présentatrice algérienne du journal télévisé de la chaîne arabophone d'information en continu Al Jazeera, ne pouvait retenir ses larmes en voyant défiler les images des corps mutilés. Le cameraman de la chaîne qatarie transmettait les images d'enfants, de femmes, de vieux, de personnes de tout âge massacrés par l'armée israélienne. Avant elle, son collègue, le Syrien Aymen avait laissé couler des larmes. Une telle catastrophe humanitaire ne pouvait le laisser insensible. Une journaliste israélienne de Tel-Aviv présentant le journal télévisé est en voie d'être licenciée, car ayant pleuré en direct lors de la diffusion d'un récapitulatif de l'agression criminelle sur la bande de Ghaza. Samedi, à l'issue de la conférence d'Ehud Olmert, un journaliste du quotidien israélien Haraetz avait exprimé sur Al Jazeera que «suite au massacre perpétré par son pays dans Ghaza, il n'était plus fier d'être israélien». La honte pèsera sur les Israéliens. Quant aux sionistes, ils seront rattrapés par la vengeance de la résistance.