L'armée qui dirige l'Egypte depuis la chute en février du président Hosni Moubarak a accepté samedi d'amender une loi électorale controversée que de nombreux partis ont critiqué, menaçant de boycotter les prochaines élections, a indiqué une source militaire. Le Conseil suprême des forces armées (CSFA) a accepté d'amender l'article 5 de la nouvelle loi pour permettre aux partis politiques de présenter des candidats pour le tiers des sièges jusqu'ici réservé aux indépendants au sein du Parlement égyptien.