Alors que l'Armée nationale populaire est en train de mener des opérations radicales contre les résidus terroristes, une nouvelle cellule portant le même nom est annoncée depuis quelques jours au Maroc. Des arrestations dans ce sens ont été effectuées dans ce pays à l'encontre de trois personnes ayant déclaré leur appartenance à cette hydre tentaculaire. Le Maroc, ce pays qui compte plus de 1500 terroristes qui combattent au profit de Daesh en Irak et en Syrie, récolte le fruit de sa politique extérieure vis-à-vis de la lutte antiterroriste. Le Royaume qui a toujours considéré l'Algérie comme un laboratoire est aujourd'hui face à une menace incontournable. Cette même monarchie qui avait peur d'Ebola, refusant d'accueillir la CAN sur son territoire, accueille désormais des criminels. Cette expansion était tout autant prévisible, néanmoins, le Maroc ne se sent terrorisé que par l'Algérie. Selon des sources très bien informées, l'extension de Daesh vers le Maroc s'est faite par des adhésions de terroristes locaux ayant des contacts directs avec les activistes de Daesh en Orient. Depuis le 21 du mois courant, le Maroc est en situation de panique, au point que même les mosquées ont été atteintes par Daesh. En effet, la presse marocaine rapporte que des inscriptions de soutien à la nébuleuse ont été découverts sur un mur de la mosquée Oum Al Qora située à Fès, d'où le déclenchement d'une enquête par la police de cette ville en collaboration avec la Dgst. Néanmoins, aucun n'ignore le soutien du Makhzen au terrorisme en vue de déstabiliser toute la région, visant à entraver le processus de règlement de la question du Sahara occidental. Plusieurs groupes y trouvent refuge sans être inquiétés, notamment ceux en provenance du Mali et certains pays d'Afrique. Le Makhzen est a l'origine de la création du Mujao, dans lequel il a infiltré ses éléments pour faire accuser les militants sahraouis. Les islamistes marocains, selon des sources très bien imprégnées des donnes actuelles, jouissent du soutien de hauts dignitaires du Palais royal et d'un nombre important d'officiers des Fars. Ceux-là mêmes feraient partie, ont ajouté les mêmes sources, d'une organisation dont l'objectif serait de créer un Etat islamique. Cette information n'est pas récente, mais elle a toujours été d'actualité confirment nos sources. Une information qui place à l'évidence le Maroc comme un financier des groupes terroristes. Faisant de la culture de la drogue sa centrale économique, et connaissant bien les relations étroites entre les narcotrafiquants et les réseaux criminels, il n'y a aucun doute pour affirmer qu'une partie du bénéfice part directement dans les caisses des réseaux terroristes. Ce Maroc, qui n'affiche son patriotisme que lorsqu'il s'agit de l'Algérie, est un complice dans l'émergence du phénomène qu'il prétend combattre. Il reste le plus grand fournisseur de drogue dans le monde. Devant les proportions que prend cette alliance, c'est certainement l'Algérie qui fait l'objet d'un vaste plan diabolique qui menace sa stabilité, notamment avec les crises qui secouent ses pays voisins. Le fléau n'a pas manqué depuis 2011 de prendre un virage gravissime avec la libre circulation des armes de toutes catégories. L'Algérie est devenue une plaque tournante malgré elle quand il s'agit de ce trafic.