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Un Casque bleu togolais et 2 civils tués
NOUVELLES VIOLENCES AU CENTRE DU MALI
Publié dans L'Expression le 08 - 11 - 2016


Un Casque bleu togolais et deux civils maliens ont été tués dimanche dans l'attaque d'un convoi de Casques bleus près de Douentza, dans le centre du Mali, a annoncé la Mission de maintien de la paix de l'ONU au Mali (Minusma). Sept casques bleus togolais ont été blessés, dont trois grièvement, a ajouté dans un communiqué la Minusma, qui est forte de 11.000 hommes dans le pays. Le Casque bleu togolais tué a succombé à ses blessures. Cette attaque est survenue alors que le ministre canadien de la Défense, Harjit Sajjan, était dimanche au Mali où il a été reçu par le président Ibrahim Boubacar Keïta pour évoquer le possible déploiement de casques bleus canadiens dans ce pays. Une mine ou un engin explosif artisanal (IED) a explosé au passage d'un convoi des Casques bleus. L'explosion, qui a eu lieu vers 10h30 locales, a été suivie par des tirs des assaillants à 45 km au nord de la ville de Douentza, dans la région de Mopti, précise le texte. Une enquête de la gendarmerie malienne sera ouverte sur la présence de civils qui suivaient le convoi des Casques bleus au moment de l'attaque, selon le communiqué. «La Minusma réitère sa détermination à continuer son appui au Mali et son peuple conformément à son mandat», ajoute le texte. Par ailleurs, dans la région de Tombouctou, des hommes armés ont attaqué dimanche un camp de l'armée malienne, selon des sources locale et sécuritaire. Le mouvement Ansar Dine a revendiqué dimanche soir cette attaque menée contre la base malienne de Gourma Rhaous, affirmant avoir détruit six véhicules militaires avant de s'en retirer, dans un communiqué diffusé en Mauritanie par Al-Akhbar, qui reçoit et diffuse régulièrement des communiqués des groupes jihadistes du Sahel. Selon le communiqué, l'attaque, qui a eu lieu à 2 heures du matin, a pris fin une heure et demie plus tard. «Nos combattants ont totalement investi la base et l'ont maîtrisée», affirme le mouvement, indiquant avoir emporté cinq véhicules, dont un équipé d'une mitrailleuse Douchka de 12,7 mm. Les assaillants ont incendié trois camions militaires et 3 véhicules Toyota. Ansar Dine parle de «plusieurs morts et blessés parmi les militaires maliens» et reconnaît avoir perdu l'un de ses hommes. Mais, selon des sources militaires, il n'y a pas eu de morts dans cette attaque. Par ailleurs, un soldat français a été tué vendredi - le 16e au Mali depuis 2013 - par un engin explosif dans le nord du pays, où des groupes jihadistes restent actifs malgré la signature de l'accord de paix. M.Le Drian a justifié l'intervention française au Mali, déclenchée en 2013, puis l'opération Barkhane (4000 hommes), mise en place un an plus tard dans cinq pays du Sahel pour traquer les groupes terroristes. Sans l'intervention française Serval au Mali en 2013, «il y aurait aujourd'hui un Etat terroriste du côté de Mossoul et Raqqa et un Etat terroriste en Afrique», a-t-il dit.

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