La Cour constitutionnelle de Corée du Sud examinera jeudi la destitution ou non de la présidente Park Geun-Hye, dont le parti conservateur "Saenuri" est menacé de scission, derniers rebondissements en date d'un vaste scandale de corruption. La Cour aura jusqu'à 180 jours pour entériner ou non la motion votée le 9 décembre par l'Assemblée nationale afin de destituer la présidente, accusée par les députés de violations de la Constitution et de délits pénaux, corruption ou abus de pouvoir.