Alors que la majorité des fans a déjà oublié l'organisation des prochaines coupes d'Afrique des nations, nous allons désormais ne parler que de notre football, dont le plus gros morceau relève, que des «seniors», i.e. l'EN «A», celle drivée jusqu'en 2026, par notre headcoach national, Djamel Belmadi, décidé à replacer le prestige, le plus haut possible du podium, en attendant les joutes éliminatoires, pour pouvoir disputer éventuellement, les finales. Une tactique mise en place par le coach, dépend en grande partie de l'effectif en présence. En somme, c'est la qualité des joueurs, qui font, que l'entraîneur national bâtit son projet. Connaissant à fond le caractère sportif, de Djamel Belmadi, il faudra beaucoup de temps pour que l'équipe ait une vocation plus qu'offensive, puisque par réflexe, nos joueurs ont tendance à mieux défendre, avant tout! Il restera toujours les coups francs bien enveloppés par les spécialistes Riad-Karim Mahrez, Ramiz -Larbi Zerrouki(éblouissant en coupe d'Europe), Saïd Benrahma, qui revient petit à petit à son meilleur niveau, et autres, Rami Bensebaïni (étincelant contre Milan), Houssem Aouar, que Mourinho a pris dans son onze type, qui seront là, pour faire la différence au cas, où les nôtres, et ce n'est pas à souhaiter, rencontreraient une équipe qui joue derrière, telle la Tunisie, avec le fol espoir d'envoyer des contres, pour ne pas écrire des raids meurtriers, et malheureusement, surprendre notre défense, dont la vigilance somnolerait, durant un moment. Les «corbeaux» à l'affût Il est vrai que les «corbeaux» et autres oiseaux de mauvais augure, ne ratent aucune occasion de dénigrer le coach national Djamel Belmadi, qui sait mieux que tout le monde que les campagnes de déstabilisation, menées à son encontre donc l'Algérie, ne peuvent le toucher ni de près ni de loin, du moment, que l'équipe est immunisée et scellée comme un roc. *Justice, rigueur, rude travail, «grinta» mêlée à un incomparable esprit de corps, font le succès des «Fennecs» version Belmadi, qui entre dans sa 6e saison footballistique, la tête haute, le port droit, la langue hors de sa poche, prêt à dégainer sur tout individu, ou groupe de tristes sires, suspecté, de barrer la route menant à de mérités succès! Enhardi par le réconfortant apport, ô, combien précieux, d'authentiques talents, l'entraîneur national, avec l'étroite collaboration de ses chers et dévoués assistants, s'est déjà préparé à se jeter dans le bain «brûlant» des matchs à enjeu. L'arrivée en masse des jeunes talents nés outre Méditerranée, sera la clé de tous les futurs succès, et à cela mettons le paquet en rappelant le fort engagement du frais président de la FAF, Walid Sadi, et n'en déplaise à certains anti-Belmadi, l'unique clé des futurs succès. Bien entendu, cette affirmation n'est due qu'en l'absence des jeunes nationaux qui rêvent de défendre les couleurs nationales, avec les moyens locaux qui n'existent même pas en 2023. Ce raté provient du seul fait que certains techniciens locaux, ne sont forts que sur certains plateaux- TV, où ils font étalage d'une connaissance étourdissante du football. Malheureusement, une fois sur le terrain, la réalité est, comme il fallait s'y attendre, tout autre. La confidence de Zouba «Le foot se joue avec les pieds, jamais avec la langue»! Nous confiait, un jour, alors qu'il avait toujours la forme de ses 20 ans, l'agréable Abdelhamid Zouba, un des anciens valeureux joueurs de l'équipe de FLN de 1958, et bien entendu, plusieurs fois entraîneur de toutes les catégories. Les Algériens ont appris à aimer le foot, et l'EN, parce que tout simplement, ils ont ouvert les yeux sur la fantastique EN de «l'Algérie combattante». Oui, c'est surtout cela que retiendra l'éternelle histoire du football algérien. Il n'y a qu'à remarquer l'effort de reprendre les émouvants mots forts, de l'Hymne national, de certains joueurs nés de l'autre côté de la Méditerranée, au moment de chanter Kassaman, pour comprendre le sens de l'amour du pays, même en «involontaire mais doux, exil». C'est ce que nous envient certains pays à commencer par les «frères», lesquels, inexplicablement, font tout pour nous voir malheureux. Boule de gomme! Bref, nous essayerons de ne plus attirer leur attention, en les laissant à leurs impossibles rêves, notamment celui de nous voir ramper, pour avoir une quelconque aide de ces hideux organismes, qui adorent jouer aux maîtres-chanteurs» de la planète. Le foot, qui reste, qu'on le veuille ou pas, un très beau jeu simple, attrayant, viril, parfois emportant et souleveur de foules en mal de joies, demeurera, dans notre beau pays, le lien indéfectible d'importantes couches de la société, qui rapproche, unit et cimente le peuple. Le peuple descendant des millions de valeureux martyrs, veut continuer à se battre pour ne plus connaître les enfumades et autres, sauvages tueries, enregistrées à travers l'histoire récente. Les arrivistes du foot Que de chemin parcouru dans cette chronique pour expliquer l'engouement qu'a le peuple pour le foot. Hélas, et même trois fois hélas, entre-temps, de sinistres individus se sont introduits dans les sphères du football, pour se faire beaucoup de fric, de loisirs, aux dépens de la caisse de la FAF, abandonnée un moment de son histoire, lorsque des «hommes et des femmes» ont tout fait pour mettre à la rue, Med Raouraoua, le président haï, ou aimé du foot national. Le beau et succulent football, fut remis à la merci de voyous en costards-papillons, suceurs de sang, sachant pertinemment, que l'Etat algérien, en ayant d'autres chats à fouetter, n'avait aucune arme à dégainer pour abattre ces bandits d'une autre ère. Cependant, cette ère qui s'en va, revient, si vite, comme si de rien, mais de «rien» n'était, au grand dam, des honnêtes dirigeants, est en train de s'adonner à une éternelle danse macabre, au milieu de responsables qui n'ont jamais su prendre le «taureau» par les cornes, et l'acculer vers la sortie! Le moment est bien trouvé, jusqu'en 2030, pour s'occuper sérieusement de notre sport, de notre foot, et de tous les autres sports dits mineurs. Qui est capable de nous égrener les noms des clubs champions d'Algérie, en volley, en handball, en basket-ball, en boule, pétanque et autres lutte gréco-romaine? Tout pour le seul foot. Et alors? Ça va mieux comme cela? Le Championnat national de foot a déjà débuté par des balbutiements... Pour le moment, il n'y a pas à dire, pas de commentaires superflus, ni d'inutiles grognements, contre l'arbitrage, ni l'administration, ni les entraîneurs, ces pauvres boucs -émissaires, sur qui on déverse la colère des absences de résultats. Les apprentis sorciers cherchent des poux Le nouveau Bureau fédéral a entamé ses travaux. Il reste cependant un truc à avaler: combien durera «l'état de grâce» de cette nouvelle équipe à qui il ne reste que 7 mois, vu qu'il n'y a pas de travaux de nuit? Donc, logiquement, tous les efforts ne porteront désormais que sur l'EN drivée par ce malin et «joueur» diablotin, de Djamel Belmadi. Les apprentis-sorciers pourront, pour leur part, chercher et trouver des «poux» sur les têtes des chauves et propres de l'équipe entière de l'entraîneur national, à qui il arrive de, (enfin) sourire, lorsqu'il a en face de lui de braves gens, qui comprennent le football. Oui, il en existe, dans ce pays qui ne peut être le «pays du foot», avec des énergumènes pareils. Nous avons envie de sourire lorsqu'un ancien joueur se targue, et de quelle manière!!!, d'avoir été le meilleur joueur de sa «génération», alors qu'il n'a aucun titre continental. Le numéro un en Algérie restera dans toute l'histoire du foot international, est et sera pour l'éternité, le sexagénaire, Moustafa dit «Moumous» Dahleb, qui vit aujourd'hui, avec une tronche blanche, silencieux mais heureux, sur et dans les hauteurs d'Alger. Avec lui, un Lakhdhar Belloumi , ou un Rabah-Moustafa Madjer, suivis de Riad-Karim Mahrez, Adlène Guedioura et Sofiane Feghouli, peuvent effectivement bomber le torse, mais pas les vieillards aigris, revanchards, et surtout vides, de toutes connaissances footballistiques! Vous aurez beau insulter, invectiver et cracher dans la main qui vous a nourris, il en restera toujours quelque chose! Le foot à ceux qui l'ont pratiqué, oui, mais, surtout à ceux qui respectent les jeunes montants!