Avec 12 morts et 161 blessés en un mois Les routes nationales font le max de dégâts à Constantine Dressant le bilan de ses activités durant le mois de Ramadhan, la Protection civile de la wilaya de Constantine fait état de 93 interventions durant le mois de septembre dernier. Ces accidents ont fait 12 morts et 161 blessés sur place. Devant ces chiffres, les services de la Protection civile de la wilaya de Constantine ont affiché leur inquiétude face à la recrudescence alarmante des accidents mortels. Les mêmes services constatent que plus de 65 % des accidents ont eu lieu au niveau des routes nationales. Le bilan de la Protection civile ne manque pas de faire remarquer que l'âge des victimes est situé entre 20 et 30 ans. Ces données peuvent être exploitées pour mieux orienter les actions de sensibilisation et de répression des services de sécurité. Betina S. Collo, Ouled Attia et Sidi Mezghiche dans la wilaya de Skikda Installation des nouveaux chefs de DaIra Le wali de Skikda a clôturé, mardi dernier, la deuxième et dernière phase d'installation des chefs de daïra nouvellement affectés dans la région. Ce fut au tour de ceux de Collo, Ouled Attia et Sidi Mezghiche de prendre possession de leur portefeuille. Ainsi, le nouveau chef de la daïra d'Ouled Attia est M. Ayachi Bendrima, venant de la daïra de Mjedel, dans la wilaya de M'sila. Il remplace M. M'barek Boufdjili, désigné chef de la daïra d'Ouled Derradj à M'sila. Au chef-lieu de cette daïra, le wali a inspecté le projet de la réalisation de la bibliothèque communale. Le wali a également procédé à l'installation du chef de la daïra de Sidi Mezghiche, M. Mohamed Ghalem, en remplacement de Saâd Bedoui, avant de procéder à l'installation de M. Hadi Debache comme chef de la daïra de Collo. A. B. Parce qu'il a reçu un appel sur son portable Un collégien tabassé par des surveillants à Biskra Un collégien de Biskra, âgé à peine de 16 ans, a été renvoyé du CEM dans lequel il est scolarisé après avoir été violemment tabassé par les surveillants de cet établissement. À en croire la version de ses camarades de classe, l'élève a été corrigé après avoir reçu un appel téléphonique sur son portable en plein cours. Si la responsabilité des parents est engagée dans ce genre de laisser-aller, le comportement des agents de l'éducation est condamnable car le recours au châtiment corporel est une méthode révolue et, surtout, interdite. Hadj Bahamma