Permettez-moi de revenir sur une affaire pour laquelle vous avez été déjà saisi, se rapportant à l'abandon du chantier par l'Ofares des travaux de confortement et de réhabilitation ordonnés par les pouvoirs publics à la suite du séisme de 2003 de nos locaux commerciaux sis 80, rue Mohamed Belouizdad, Belcourt – Alger- par contre, pour l'heure, il s'agit de l'occupation par la force du mur de façade de nos locaux par des vendeurs informels qui squattent aussi le trottoir (large de 0,80 cm) en étalant leurs marchandises sur des étals de fortune tout en installant des grilles sur le mur de notre établissement pour exposer toutes sortes d'articles, ne laissant aucun passage aux piétons, créant ainsi une indescriptible cacophonie. Ces indus occupants ont été invités à libérer cet espace squatté pour nous permettre de poursuivre les travaux d'aménagement entrepris depuis quelques mois, non seulement ils refusent d'obtempérer, mais ils profèrent menaces et injures à mon encontre. Devant cette attitude négative voire provocante, nous avons été contraints de déposer une plainte auprès du commissariat de police du 7e arrondissement. Plainte qui n'a toujours pas été suivie d'effet. Par ailleurs, un problème d'hygiène et d'insalubrité se pose avec acuité au niveau de la petite courette faisant partie de notre local du 1er étage, courette découverte qui présente un état d'insalubrité criante du fait de l'incivisme des habitants du 2e et 3e étage qui n'hésitent pas à jeter quotidiennement toutes sortes d'ordures et de déchets auquel s'ajoute le déversement et la stagnation des eaux provenant du lavage des terrasses de ces habitations ainsi que les eaux pluviales et même nos locaux à l'intérieur ne sont pas épargnés et subissent des fuites d'eaux usées provenant des sanitaires des étages du dessus provoquant ainsi de graves dégâts à la plupart des plafonds. L'un des locataires a eu l'audace de soudoyer l'entreprise qui était chargée des travaux de confortement, de se faire installer les sanitaires qui n'existaient pas auparavant en perçant le plancher du plafond de notre local du 1er étage afin de faire passer la tuyauterie d'évacuation des eaux usées en se connectant sur notre canalisation. Il est à signaler que compte tenu de l'état critique où se trouve la courette citée plus haut, un projet destiné à sa couverture a été décidé suite au rapport du service d'hygiène de l'APC de Sidi Mhamed. Malheureusement au moment d'entamer les travaux, les voisins se sont opposés catégoriquement à sa couverture. En dépit de toutes les démarches effectuées auprès de toutes les autorités compétentes, elles sont restées sans suite. Responsable de la S.A.R.L. CIEME 80, rue Mohammed Belouizdad- Belcourt-Alger