Selon des sources bien informées, il semblerait que le réalisateur Bachir Derraïs soit victime d'une cabale politique fomentée par le clan présidentiel. En effet, la ministre de la Communication et de la Culture, Khalida Toumi a, semble-t-il, été informée de la présence de Laurent Bernard, fils de l'actuel ambassadeur de France en Algérie dès le début du tournage du film. La ministre aurait même donné son accord afin qu'il séjourne en Algérie pendant toute la durée du tournage. Laurent Bernard serait devenu indésirable à partir du moment où Claude Bernard (son père) aurait tenu des propos critiques à l'égard de Abdelaziz Bouteflika.