De très nombreux citoyens se plaignent de la qualité de réception au niveau de l'hôpital de Tissemsilt par les agents de sécurité. En effet, depuis quelque temps, l'espace destiné au stationnement des voitures, à l'extérieur de l'hôpital, a été fermé au public. Les citoyens, décontenancés par cette mesure, se demandent si cette décision est réfléchie. Pour beaucoup d'entre eux, celui qui a fait fermer cet espace, l'a fait pour procurer du travail au niveau du parking qui se trouve à l'extérieur. Un espace qui ne chôme pas, surtout à l'heure de l'unique visite de la journée. En effet, des agents de sécurité exerçant à l'EPH de Tissemsilt, aux allures incorrectes avec en prime un langage déplacé, se sont convertis en gardiens de voitures en exploitant la moindre place particulièrement à l'extérieur de l'hôpital, le plus sollicité par les automobilistes. Usant d'un langage déplacé pour influencer beaucoup plus le “client” que d'éventuels voleurs, ces “gardiens” ont trouvé le créneau pour soumettre l'automobiliste à une “dîme” de 20, 25 et 30 DA sans broncher et encore moins discuter et dans beaucoup de cas à user de la force à l'intransigeance des conducteurs avertis qui n'y voient qu'escroquerie et une manière loin d'être civilisatrice dans un Etat de droit, pour extorquer l'argent. Dans ce contexte, il suffit de faire une virée à l'EPH de Tissemsilt pour s'en convaincre. À Tissemsilt, il y a des pères de familles honnêtes au chômage et qui pourraient bien faire ce travail qui ne demande qu'un œil vigilant et qui rapporte, il faut le reconnaître, avec l'autorisation de l'APC en bonne et due forme. Au moins ces derniers ont une responsabilité et une charge familiales.