Le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, a souligné hier que l'Algérie avait perdu avec la disparition du moudjahid Larbi Belkheir un “enfant dévoué et un militant qui a toujours servi son pays avec abnégation et engagement”. L'Algérie vient de perdre, avec la disparition de si Larbi, “un de ses enfants dévoués et un militant qui a toujours servi son pays avec abnégation et engagement, d'abord en prenant les armes face au colonisateur et en accomplissant son devoir avec les moudjahidine pendant la guerre de Libération jusqu'à l'avènement de la liberté, puis dans les rangs de l'Armée nationale populaire (ANP) avant d'occuper de hautes fonctions”, lit-on dans le message de condoléances du président Bouteflika à la famille du défunt. “Je perds aujourd'hui un frère qui appartenait à cette famille de moudjahidine que j'ai connue pendant la guerre de Libération. Un frère que j'ai côtoyé dans les rangs de l'Armée de libération nationale (ALN) et auquel j'ai accordé ma confiance dans une période difficile et sombre pour le pays au cours de laquelle il assuma ses fonctions avec sagesse et sérénité”, a ajouté le président de la République, soulignant que le défunt “était toujours enclin à apporter son aide et à donner des conseils et des orientations”. Feu Larbi Belkheir était connu pour “ses bonnes œuvres et était une référence en matière de travail bien accompli et de justesse d'esprit”, a rappelé le chef de l'Etat. En cette pénible circonstance, le président Bouteflika a présenté ses condoléances les plus attristées à la famille du défunt, priant Dieu Tout-Puissant de lui accorder Sa Sainte Miséricorde et de l'accueillir en Son Vaste Paradis.