C'est dans l'enceinte du prestigieux lycée Zerouki, ex-René-Basset, que s'est ouverte hier la 36e édition du Festival national des arts dramatiques de Mostaganem. Le public jeune se bouscule à Mostaganem pour applaudir d'autres jeunes qui se sentent marginalisés, laissés-pour-compte et qui sont impatients de parler. Malheureusement, pour dire chaque année les mêmes choses : les maux sociaux, les déviances, les problèmes de la femme opprimée, la cherté du mariage, la corruption, la course aux bonnes places des arrivistes, les exploiteurs… D. M.