“La condamnation en dernier recours de “non-jeûneurs” à des peines de prison est pour les défenseurs des droits de l'Homme un scandale et un outrage pour l'ensemble du pays”, estime la Ligue algérienne de défense des droits de l'Homme (Laddh). “Cette décision des juges ne repose sur aucun texte légal en dehors d'une interprétation intégriste de la pratique de l'islam, religion de tolérance par essence”, a encore déploré, hier, la Laddh, dans un communiqué.