Réseau routier impraticable à Boussaâda “En raison de l'état de délabrement des routes, nous pataugeons dans la boue les jours pluvieux, et nous souffrons de la poussière en été”, s'est plaint un habitant du quartier Boussaâda, dans la commune de Djemila au nord-est du chef-lieu de la wilaya. Les habitants de ce quartier “défavorisé” sont montés au créneau pour dénoncer la situation catastrophique de leurs routes, qui perdure depuis plusieurs années. Ils ont attendu l'achèvement des travaux du raccordement au réseau de gaz naturel pour réclamer la réfection et le bitumage des routes de leurs cités. Estimant que rien n'a été fait dans le cadre de l'amélioration urbaine dans leurs quartiers, les habitants interpellent les responsables pour prendre leurs doléances en considération. Amar LOUCIF Les parents d'écoliers de Bourzem réclament l'installation de ralentisseurs Des parents d'écoliers de Bourzam, dans la commune de Bir El-Arch réclament l'installation de ralentisseurs sur l'axe routier menant à la mechta de Lakakza, plus exactement près de l'école primaire Djeloul. Les habitants dont les enfants sont scolarisés dans cette école primaire ont exprimé leur crainte quant aux dangers qui guettent leur progéniture au quotidien. “Cette route est très dangereuse. L'excès de vitesse des automobilistes qui ne respectent pas les indications des plaques de signalisation est une véritable menace”, dira un parent d'élève. Et d'ajouter : “En dépit du nombre important d'accidents qui se sont produits sur cet axe et des différentes correspondances adressées à l'APC, les responsables de la commune ne sont pas encore intervenus”. A. L. Huit foyers sans électricité à El-Maleh Huit foyers dans le petit bourg d'El Maleh sis à une dizaine de kilomètres de la commune de Dehamcha, au nord-est du chef-lieu de la wilaya de Sétif sont sans électricité. Au grand dam des habitants qui utilisent, comme au bon vieux temps des quinquets et des bougies pour s'éclairer, les correspondances et requêtes adressées aux services concernés sont restées lettre morte. “On ne demande pas le raccordement de nos foyers au réseau du gaz, seulement l'électricité, un paquet de bougies coûte cent dinars, c'est trop cher”, nous dira un habitant. “Nos enfants révisent leurs leçons à la lueur de la bougie”, renchérit un autre. “Cela fait vingt ans que nous attendons l'arrivé de l'électricité, on a saisi à maintes reprises l'APC et Sonelgaz mais nous n'avons eu droit qu'à des promesses. Notre douar est oublié, comment voulez-vous que nous restions ici pour travailler la terre. Rien ne nous encourage”, dira un représentant des habitants. Selon ce dernier, l'opération de raccordement ne nécessiterait pas beaucoup de moyens, car le poteau se trouve à 600 mètres seulement. L'absence de cette énergie a aussi affecté l'activité dans le domaine de l'agriculture dans cette bourgade. Les habitants de ce douar interpellent les autorités pour intervenir et mettre fin au calvaire qu'ils endurent. A. L.