Le gouvernement algérien a fait appel à des bureaux d'études français pour établir la carte sismique du nord du pays et étudier la vulnérabilité des bâtiments importants en cas de séisme. Au lendemain du séisme dévastateur du 21 mai 2003 qui a fait 2 300 morts et des milliers de blessés à Boumerdès et à Alger, le gouvernement avait promis de mettre en place des mesures pour diminuer les risques d'effondrement des constructions en cas de tremblement de terre. Lors de cette catastrophe naturelle, de nombreux bâtiments sont tombés comme des châteaux de cartes, en raison du non-respect des normes de construction parasismiques, selon des architectes algériens.