Saïda : Arrestation d'un dealer Les éléments de la brigade de recherches et d'investigations de la police judiciaire relevant de la Sûreté de Saïda, ont mis hors d'état de nuire un dealer notoire, âgé de 29 ans, au niveau de la grotte de Boukhors en possession de 15 plaquettes de kif traité destinées à la vente. Le mis en cause a été présenté, jeudi dernier, devant le procureur près le tribunal de Saïda et mis en détention provisoire en attendant son jugement. F. Z. Tiaret : Un ex-employé de la BADR incarcéré Un ancien employé de la Banque de développement rural (BADR) de Tiaret, aujourd'hui, en retraite, vient d'être arrêté par la police à son arrivée à l'aéroport d'Oran en provenance d'Espagne, a-t-on appris de source sécuritaire. Ce dernier est soupçonné, alors qu'il était toujours en service, d'avoir détourné 2,1 milliards de centimes d'un compte d'une cliente établie à l'étranger avant de fuir le pays. Le pot aux roses a été découvert au début de l'année 2012, quant la cliente s'est présentée à la banque pour un retrait, et une plainte a été alors déposée. Présenté devant le procureur de la République de Tiaret, O. A., âgé de 63 ans, a été placé sous mandat de dépôt. Autant rappeler que sa fille est déjà incarcérée pour une affaire liée à ce détournement et éclaboussée dans le scandale de l'Ansej. Dans le même sillage, les éléments de la brigade mobile de la police judiciaire de Sougueur viennent de mettre hors d'état de nuire un maraudeur notoire spécialisé dans le vol de véhicules. Alors que 8 mandats d'arrêt ont été notifiés à son encontre, A.H., âgé de 31 ans, et habitant Sougueur, a été interpellé alors qu'il se trouvait à bord d'un véhicule volé. En sa possession, les policiers ont trouvé des pièces d'identité appartenant à de tierces personnes. Il a été placé sous mandat de dépôt. Par ailleurs, B. A., 67 ans, et originaire de Dahmouni, a été arrêté pour escroquerie et émission de chèques sans provisions par les éléments de la police judiciaire relevant de la Sûreté de daïra de Mahdia. Il a été écroué sur ordonnance du procureur de la République de Tissemsilt. Les éléments de la brigade chargée de la protection des mineurs relevant de la police judiciaire de Tiaret, ont traité une affaire portant sur l'attentat à la pudeur et incitation à la débauche d'une adolescente de 15 ans. La genèse de cette histoire remonte au début du mois de mars dernier, quand la victime, accompagnée de son père, s'est présentée au commissariat pour faire sa déposition contre trois hommes qui l'aurait violée à bord d'un véhicule Renault Express appartenant à l'un d'eux au niveau de la zone industrielle de Zaâroura. Après de longues investigations, les policiers sont parvenus à identifier le propriétaire du véhicule, en l'occurrence B. A., 28 ans, aussitôt arrêté et présenté jeudi dernier devant le juge des mineurs qui a ordonné sa mise sous mandat de dépôt, alors que ses acolytes, B. A., et B.N., âgés respectivement de 23 et 24 ans, sont toujours en fuite. R. Salem Mostaganem : Les orfèvres ambulants sédentarisés dans l'atelier de l'ex-Sonitex L'opération recasement s'inscrit dans le cadre du programme de lutte contre le commerce informel. Désormais, les bijoutiers qui se livraient, jusque-là, à leur activité d'orfèvrerie “de plein air" en squattant les trottoirs de la place Thiers et ses ruelles adjacentes, seront “sédentarisés" au niveau du bâtiment qui abritait l'ancien atelier de confection de l'ex-entreprise publique du textile Sonitex, sis au centre-ville à proximité de l'agence commerciale d'Algérie Télécom et de la semoulerie de l'ancienne Eiadh privatisée. Ils y seront installés en vertu d'arrêtés municipaux en cours d'établissement, à la demande des intéressés, par l'autorité communale compétente. Il convient de savoir qu'à l'instar des autres grandes villes d'Algérie, cette activité de la bijouterie en étal, a toujours été pratiqué à “ciel ouvert", mais en vertu de formalités règlementaires strictes. Cette catégorie d'orfèvres ambulants était également assujettie à la détention d'un registre de commerce et d'un arrêté municipal pour l'exercice de la profession. Tout comme elle était soumise au contrôle de la garantie, par les services compétents relevant du département des finances. M. O. T. Nom Adresse email