Samsung dévoile le Galaxy S7 et Galaxy S7 Edge au MWC 2016 de Barcelone Comme attendu, Samsung Electronics a dévoilé ses deux nouveaux smartphones : Galaxy S7 et Galaxy S7 Edge lors du Mobile World Congress (MWC) qui se tient à Barcelone. "Les Galaxy S7 et Galaxy S7 Edge introduisent le premier appareil photo à la technologie Dual Pixel dans un smartphone, offrant des photos plus nettes et plus précises, même à lumière faible", explique Samsung. La fiche technique des deux smartphones indique aussi que les Galaxy S7 et Galaxy S7 Edge sont respectivement "de 5,1 et 5,5 pouces", conçus "avec du verre et un métal 3D", et dotés de "la nouvelle technologie d'affichage Always-On de l'appareil qui offre une expérience zerotouch aux utilisateurs, où ils ne se soucient plus de manquer un appel ou une notification importante". Les deux nouveaux smartphones de Samsung disposent d'une technologie de chargement avec et sans fil plus rapide. En addition, le conteneur hybride de la carte SIM permet d'insérer une carte mémoire microSD avec une mémoire allant jusqu'à 200GB. Dans certains pays, le conteneur peut être utilisé pour une carte SIM secondaire. Samsung affirme avoir "également réalisé des améliorations significatives au matériel et au logiciel pour optimiser l'expérience de jeu". Game Launcher permet aux utilisateurs de gérer la consommation de la batterie et de minimiser les notifications. La technologie API Vulkan qui équipe ces smartphones permet de jouer à des jeux graphiques de haute performance avec une faible consommation de batterie. Galaxy S7 et Galaxy S7 Edge fonctionnent sous Android 6.0 (Marshmallow). Ils sont dotés respectivement d'un microprocesseur Octacore (2.3GHz Quad + 1.6GHz Quad) et Quad core (2.15GHz Dual + 1.6GHz Dual). La RAM est de 4GB (LPDDR4), et la capacité mémoire est de 32/64GB selon les modèles. MyShake une application pour détecter les tremblements de terre Vos smartphones pourraient devenir des détecteurs de séisme grâce à une nouvelle application lancée récemment pour suivre les tremblements et, potentiellement, sauver la vie des utilisateurs. MyShake, disponible sur Android, permet de détecter la formation d'un tremblement de terre à proximité en utilisant l'accéléromètre de votre smartphone. MyShake a été créée par des chercheurs de l'université de Californie à Berkeley. "MyShake ne peut pas remplacer les réseaux sismiques traditionnels comme celles qui sont gérés par le US Geological Survey" a déclaré Richard Allen, chef du projet de l'application et directeur du Laboratoire de sismologie de Berkeley. "Mais nous pensons MyShake peut être une alerte rapide d'un séisme et plus précis dans les zones qui ont un réseau sismique traditionnel, comme elle peut fournir une alerte précoce dans les pays qui n'ont pas de réseau sismique". L'algorithme derrière MyShake, développé par une poignée de programmeurs de la Silicon Valley, repose sur la même technologie qui permet de détecter l'orientation du téléphone, connu sous le nom de l'accéléromètre, afin de mesurer le mouvement causé par les tremblements. L'application fonctionne mieux si elle comptabilise beaucoup d'utilisateurs pour faire partie d'un réseau de "stations sismiques" connectées et permettre des projections plus fiables. Environ 300 smartphones équipés de MyShake dans une zone de 110 km2 sont suffisants pour estimer l'emplacement d'un tremblement de terre, l'ampleur et la durée. La justice française habilitée à trancher des litiges impliquant Facebook La clause de compétence qui désigne un tribunal de l'Etat de Californie comme étant le seul habilité à trancher les litiges avec Facebook a été jugée "abusive" par la Cour d'appel de Paris. Cette dernière a confirmé la compétence de la justice française pour juger le réseau social en cas de conflit l'opposant à un internaute. Selon Reuters, l'arrêt des magistrats valide l'ordonnance du tribunal de grande instance de Paris du 5 mars 2015 qui avait jugé "abusive" la clause exclusive de compétence, obligatoirement signée par tous les utilisateurs de Facebook. "La cour déclare l'appel de la société Facebook irrecevable", écrivent-ils. À l'origine de cette action en justice, "un professeur féru d'art qui a assigné Facebook pour "atteinte à la liberté d'expression", accusant le réseau social d'avoir censuré son compte sur lequel il avait posté une photo du tableau de Gustave Courbet L'Origine du monde, représentant un sexe féminin", ajoute Reuters. Facebook avait alors estimé que les tribunaux français n'étaient pas compétents pour traiter cette affaire et avancé que "le contrat n'est pas un contrat de consommation en raison de la gratuité de son service".