Dans un communiqué rendu public, hier, Reporters sans frontières a réitéré sa demande de remise en liberté provisoire de Mohamed Benchicou, condamné hier à cinq mois de prison ferme dans deux nouveaux procès. RSF, qui s'inquiète de la détérioration de l'état de santé de l'ancien directeur du journal Le Matin, affirme qu'en “condamnant cinq journalistes à des peines de prison, l'Etat algérien prouve sa détermination à poursuivre la répression à l'encontre des journalistes”. R. N.