Plusieurs communes ont bénéficié de projets d'étude et de protection contre les inondations, mais beaucoup reste à faire, les inondations de septembre 2018, qui ont touché les communes de Souk Naâmane et de Bir Chouhada sont là pour le rappeler. Dans son rapport présenté fin décembre 2018 devant la 4e session ordinaire de l'APW, la commission du développement local et de l'équipement de l'assemblée n'a pas manqué de dresser un tableau sur l'état des oueds traversant les centres urbains de la wilaya, certains sont classés "dangereux", d'autres moins et certains "très dangereux". Pour cette dernière catégorie, l'on retrouve oued Bir Rayane à Bir Chouhada, dont la longueur traversant l'agglomération est de 7 km, ainsi qu'oued El-Malah et oued El-Hirech à Aïn Fakroun. S'agissant des oueds dangereux, le rapport cite oued Merroukia (Ksar Sbahi), oued Gadmane et oued Ouled M'loul (Souk Naâmane), oued El-Charfa (Ouled Zouaï), oued El-Taraf (Bir Chouhada), oued Sigus (Sigus), oued Ould Nacer (El-Amiria), oued El-Barda (Aïn Fakroun), oued Maroui et oued El-Atik (Oum El-Bouaghi), oued Lefdjoudj, oued El-Djarjour et oued Foum El-Anba (Aïn Zitoun), oued Meskiana (Meskiana), oued Bousekren (Rehia), oued Nini (Oued Nini), oued Kricha (Aïn Kercha), oued D'rimil (Ouled Hamla) et enfin oued Jidmalou (Aïn M'lila).