Le leader du mouvement pour la réforme nationale (MRN), Abdallah Djaballah, a déclaré, avant-hier lors d'un meeting qu'il a animé au théâtre régional Azzeddine-Madjoubi de Annaba, dans le cadre de la campagne en faveur du projet de charte pour la paix et la réconciliation nationale, soumis à référendum le 29 septembre, que les dossiers sécuritaires et politiques doivent être traités sur un pied d'égalité. Expliquant le fond de sa pensée, le chef islamiste du MRN estime que le projet de charte se limite au seul volet sécuritaire et constitue, de ce fait, une étape de la solution de la crise en Algérie. B. BADIS