Un premier arrêt de travail d'une journée est prévu mardi prochain. Durant cette journée, les enseignants voteront une proposition de leur syndicat : une grève d'une semaine, du 25 février au 2 mars prochain. Les représentants de la coordination régionale de l'Ouest du Cnes, regroupant les sections de l'ENSET d'Oran et des Universités de Mascara, Mostaganem, Oran Es-Sénia, Saïda, Sidi Bel-Abbès, Tlemcen et l'USTO, réunis jeudi dernier en assemblée générale, appellent les enseignants du supérieur à une journée de protestation le mardi 24 janvier. Dans une déclaration transmise à notre bureau régional, la coordination régionale de l'Ouest précise que, “conformément aux résolutions et décisions du conseil national du 6 décembre 2005 et du bureau national du 5 janvier 2006, la coordination Ouest du Cnes appelle tous les enseignants à participer, durant cette journée, à un arrêt de travail et à voter massivement la grève d'une semaine du 25 février 2006 au 2 mars 2006 pour la prise en charge réelle des problèmes des enseignants contenus dans la plate-forme de revendications déposée auprès de la tutelle depuis plus d'une année”. Les auteurs de la déclaration ont rappelé à ce titre le constat d'échec sans appel dressé par les membres du conseil national sur la démarche, le dialogue et le partenariat engagé avec la tutelle. Les membres de l'instance suprême du Cnes dénoncent l'absence de suivi des différentes décisions prises en commun accord avec la tutelle, l'absence de volonté de la part des autorités publiques à privilégier le dialogue aux coups de force et au recours abusif à la justice. Comme ils n'ont pas manqué de revenir sur le problème récurrent, à savoir le dossier du logement où aucun progrès n'a été enregistré. À cela ajouter le refus de l'ouverture de différents dossiers tels que la démocratisation de la gestion de l'université et les salaires. Par ailleurs, dans son communiqué, la coordination régionale Ouest déclare qu'elle refuse “de cautionner le simulacre de négociations organisées dans le cadre de la commission mixte sur le statut particulier de l'enseignant, sans aucun pouvoir de décision ou de négociation des salaires et rémunérations”. Par ailleurs, la coordination régionale salue les positions du syndicat des chercheurs permanents et de l'ANPMC quant à leur décision d'appeler leurs adhérents respectifs à participer à la réussite de la journée de protestation de mardi prochain et encourage les instances nationales du Cnes à initier d'autres actions communes avec les différents partenaires sociaux du secteur de l'enseignement supérieur. La coordination tient aussi à saluer la lutte des enseignants et des travailleurs de l'éducation nationale et leur exprime son soutien total et sans réserve pour la satisfaction de leurs revendications. Les représentants de la coordination régionale de l'Ouest du Cnes, regroupant les sections de l'ENSET d'Oran et des Universités de Mascara, Mostaganem, Oran Es-Sénia, Saïda, Sidi Bel-Abbès, Tlemcen et l'USTO, réunis jeudi dernier en assemblée générale, appellent les enseignants du supérieur à une journée de protestation le mardi 24 janvier. Dans une déclaration transmise à notre bureau régional, la coordination régionale de l'Ouest précise que, “conformément aux résolutions et décisions du conseil national du 6 décembre 2005 et du bureau national du 5 janvier 2006, la coordination Ouest du Cnes appelle tous les enseignants à participer, durant cette journée, à un arrêt de travail et à voter massivement la grève d'une semaine du 25 février 2006 au 2 mars 2006 pour la prise en charge réelle des problèmes des enseignants contenus dans la plate-forme de revendications déposée auprès de la tutelle depuis plus d'une année”. Les auteurs de la déclaration ont rappelé à ce titre le constat d'échec sans appel dressé par les membres du conseil national sur la démarche, le dialogue et le partenariat engagé avec la tutelle. Les membres de l'instance suprême du Cnes dénoncent l'absence de suivi des différentes décisions prises en commun accord avec la tutelle, l'absence de volonté de la part des autorités publiques à privilégier le dialogue aux coups de force et au recours abusif à la justice. Comme ils n'ont pas manqué de revenir sur le problème récurrent, à savoir le dossier du logement où aucun progrès n'a été enregistré. À cela ajouter le refus de l'ouverture de différents dossiers tels que la démocratisation de la gestion de l'université et les salaires. Par ailleurs, dans son communiqué, la coordination régionale Ouest déclare qu'elle refuse “de cautionner le simulacre de négociations organisées dans le cadre de la commission mixte sur le statut particulier de l'enseignant, sans aucun pouvoir de décision ou de négociation des salaires et rémunérations”. Par ailleurs, la coordination régionale salue les positions du syndicat des chercheurs permanents et de l'ANPMC quant à leur décision d'appeler leurs adhérents respectifs à participer à la réussite de la journée de protestation de mardi prochain et encourage les instances nationales du Cnes à initier d'autres actions communes avec les différents partenaires sociaux du secteur de l'enseignement supérieur. La coordination tient aussi à saluer la lutte des enseignants et des travailleurs de l'éducation nationale et leur exprime son soutien total et sans réserve pour la satisfaction de leurs revendications. A. BOUSMAHA