Quelle ne fut la déception des habitants de cette grande cité des hauteurs d'Alger de voir les peintres, qui avaient déjà repeint une bonne partie des immeubles, ranger leurs pinceaux pour ne plus revenir, laissant l'autre moitié en l'état. Qui rebouchera aussi les dizaines de trous qui font ressembler les routes à des portions de gruyère ? L'OPGI a-t-il une réponse ?