Lors du séminaire organisé jeudi dernier à Constantine sur le “dialogue des civilisations et des religions”, le président de l'association CRI a tout fait pour empêcher les journalistes de la presse écrite de tenir un point de presse avec le recteur de la Grande-Mosquée de Paris, Dalil Boubakeur. Celui-ci ne paraissait pourtant pas gêné pour se prêter aux questions des journalistes présents. Suite à quoi, le président de ladite association invitera les représentants de la presse à attendre le temps de la pause, en invoquant, tenez-vous bien, l'état de santé de Dalil Boubakeur. Ce même responsable a, en revanche, vite fait d'arranger un moment pour la Télévision nationale avant de convier les journalistes à se rendre à l'hôtel où séjournent les invités pour poser leurs questions. Excès de zèle quand tu nous tiens !