OULED HEDDADJ UN POTEAU ELECTRIQUE AU MILIEU DE LA CHAUSSEE Les automobilistes, qui empruntent la route menant au village Haouche El Makhfi, dépendant de la commune d' Ouled Heddadj à l'ouest de Boumerdès, doivent être extrêmement prudents. En effet, un poteau électrique est érigé en plein milieu de la chaussée constituant un danger réel. Il faut noter que cette route a été nouvellement ouverte par la wilaya de Boumerdès à la suite des doléances des habitants de Haouche El Makhfi, qui se plaignaient d'un véritable enclavement. Ces derniers ont accueilli avec soulagement cette voie les reliant à leur commune, laquelle a vraiment désenclavé la région. Néanmoins, ils se demandent pourquoi les services de la voirie n'ont pas enlevé le poteau en question. Le hic est qu'au lieu d'enlever cet obstacle de la chaussée, les responsables ont barré carrément une partie de la route à l'aide d'une glissière métallique pour éviter aux automobilistes de buter contre le poteau. NACER ZERROUKI Formation professionnelle à médéa de nouvelles spécialités lancées Dans la perspective d'adapter son enseignement au nouveau contexte généré par l'environnement économique national, le secteur de la formation et de l'enseignement professionnels s'est attelé à préparer les conditions de prise en charge d'une stratégie à l'horizon 2025. En constante évolution, les effectifs attendus à cette échéance vont nécessiter la réalisation de nouvelles infrastructures à même de répondre aux nouvelles exigences de l'économie. Pour faire face aux cohortes de postulants correspondant aux niveaux de technicien et technicien supérieur, le secteur devra se doter de 13 instituts et de 56 CFPA. Les prévisions font état d'une évolution des effectifs de plus de 13 000 stagiaires, nombre nécessitant un surcroît de capacités pédagogiques. L'on fait remarquer que les établissements de la formation et de l'enseignement professionnels seront spécialisés, contrairement à ce qui se fait actuellement. La préparation des conditions à la spécialisation est d'ores et déjà mise en route grâce à l'apport des expériences capitalisées en ce domaine, notamment en ce qui concerne la formation en “mécatronique” et en “autotronique”, spécialités qui utilisent le scanner dans la réparation mécanique et automobile. Toutefois, le souci de ne pas abandonner l'apprentissage de certains métiers, tels que tapissier, bourrelier…, tombés en désuétude du fait de la concurrence des produits importés et de l'absence de relève, sera toujours présent, fait-on remarquer. C'est aussi dans cette perspective que s'inscrivent certaines formations préparant aux métiers de boulanger, pâtissier, horticulteur, cantonnier, factotum… Principal utilisateur des cantonniers, le secteur des travaux publics recevra une trentaine de jeunes qui ont été formés suite à une convention signée avec le secteur de la formation professionnelle. M. EL-BEY