La Cnec, dans un communiqué signé hier par son président Khaled Bounedjma, entre de plain-pied dans la polémique sur le devoir de mémoire. Tout en se disant favorable à la normalisation des relations avec la France, Bounedjma estime que cette normalisation, qui impliquerait des privilèges énergétique, culturel et politique au détriment de l'obligation de repentance, est un pardon officiel.