Hier, à la station du contrôle technique de Chéraga, des dizaines de voitures, dont les propriétaires étaient en attente depuis des heures, ont été “sabotées” par la gendarmerie pour stationnement interdit. Cette situation surréaliste est créée, encore une fois, à cause du délai qui a expiré le 31 décembre dernier. Mais après l'expiration de ce délai, il ne reste au bas mot pas moins de 200 000 véhicules, concernés par l'opération, qui ne sont pas contrôlés et qui risquent donc d'être mis en fourrière. La question est de se demander pourquoi chaque année, c'est la même pagaille. Pourquoi ne pas étaler l'opération sur toute l'année de façon à éviter chaque année ces scènes ahurissantes.