La cession criminelle de la cour d'Alger va s'ouvrir samedi prochain sans de nombreuses affaires inscrites au rôle. À la lecture des affaires affichées, on relève encore une fois l'absence de celles en rapport avec le terrorisme, en l'occurrence celle de Hattab, d'El Para et de Serkadji. Ces affaires, qui devaient être examinées lors des sessions précédentes, sont ainsi reportées à la semaine des quatre jeudis. Peut-être que le climat politique actuel n'est pas propice pour permettre aux juges de dire le droit en toute sérénité.