transfert des eaux du barrage de beni haroun vers constantine l'opération débutera dans un mois “Le transfert des eaux du barrage de Beni Haroun vers Constantine sera entamé définitivement.” C'est ce qu'a annoncé le directeur de l'hydraulique de la wilaya, en marge de la célébration de la Journée mondiale de l'eau. La bonne nouvelle est que d'ici un mois, le barrage d'Oued Athménia sera rempli et Constantine sera alimentée quotidiennement durant cet été. Quatre agglomérations bénéficient actuellement des eaux du barrage, à savoir Aïn S'mara, Constantine, El Khroub et la nouvelle ville Ali-Mendjeli. Le même responsable a tenu à préciser que le grand système du transfert de Beni Haroun n'améliore pas seulement l'alimentation en eau potable pour six wilayas de l'Est, mais il permet également d'irriguer 41 000 hectares de terres agricoles. En outre, la stations de traitement a été réalisée dans le cadre de ce projet, de même que 15 stations de pompage et 23 ouvrages de stockage d'eau traitée. Radia M. A. crise dans le bâtiment à el-tarf programme compromis À El Tarf, les récentes augmentions du prix du ciment ont mis à l'arrêt de nombreux chantiers de la wilaya. Les prétendants au logement social doivent patienter encore longtemps. Le sac de ciment de 45 kg est cédé à 570 dinars dans de nombreuses agglomérations de la wilaya. Beaucoup d'encre a coulé mais personne ne bouge le petit doigt pour arrêter cette hémorragie qui, au demeurant, paralyse les chantiers du bâtiment et les programmes de logements initiés par le président de la République. Il est à noter que le ciment est rare sur le marché. Les spéculateurs, eux-mêmes, l'achètent en troisième main. L'usine de Hadjar Soud, dans la daïra d'Azzaba, wilaya de Skikda, est en période d'entretien. Enfin, disons que de nombreux entrepreneurs refusent au niveau de cette wilaya de soumissionner dans les programmes de logements vu les hausses enregistrées au niveau des matériaux de construction. La wilaya est dans un besoin pressant en logements. Pourtant, on n'enregistre aucune révision des prix du marché. Les entrepreneurs qui ont sollicité un tel arrangement ont reçu un niet sans explication aucune. En fait, cette crise est de dimension nationale et c'est cela le drame ! Tahar Boudjemaâ El-Oued Rencontre sur “l'importance de la culture de protection de l'environnement” La culture de protection de l'environnement et son impact sur la préservation des espaces verts a été au centre de la 7e édition du colloque de la ligue de la pensée et de la création de la wilaya, tenue avant-hier à El-Oued. Cette manifestation de deux jours regroupe universitaires et spécialistes dans le domaine de l'environnement venus des wilayas de Biskra, de Blida, d'Annaba et d'Alger. Il s'agit d'expliquer l'importance de la préservation et de la protection de l'environnement, l'impact que revêt une culture dans ce domaine ainsi que l'élaboration d'un diagnostic sur les effets de l'environnement dans la région d'Oued Souf, indiquent les organisateurs. Dans son exposé intitulé “Situation de l'environnement en Algérie”, M. Amar Mohamed, enseignant à l'université d'Alger, a mis l'accent sur la nécessaire préservation de l'environnement dans sa relation, notamment avec la répartition de la population qui occupe 7% de la superficie du pays. Le conférencier a par ailleurs préconisé une stratégie basée sur de vastes opérations de boisement et de lutte contre la désertification pour protéger l'environnement. D'autres conférenciers ont insisté sur l'importance de la protection de l'environnement par entre autres l'ancrage d'une culture environnementale, l'organisation de campagnes de sensibilisation, la vulgarisation, la préservation et le développement d'un environnement rentable. D'autres communications sur les lois algériennes protégeant l'environnement, les stratégies, l'environnement et le patrimoine figurent aux travaux de ce colloque de deux jours. APS Bordj Bou-Arréridj La doyenne des Bordjiens s'est éteinte à l'âge de 106 ans La doyenne des Bordjiens, Djebarni née Saïdi Zohra, est décédée à l'hôpital de Bordj Bou-Arréridj à l'âge de 106 ans, a-t-on appris auprès de sa famille. “Elle était aimée par tous et n'arrêtait jamais de nous raconter des anecdotes”, nous dit l'un de ses neveux. Il ajoute qu'elle n'hésite jamais à faire une petite promenade et surtout à visiter son village natal, Colla, à 30 kilomètres du chef-lieu de la wilaya. Chabane BOUARISSA