Liberté : Que s'est-il passé ? Nabil Madi : Je n'étais pas dans mon jour. Je demande pardon à mes parents et au peuple algérien parce que je n'ai pas réussi à leur offrir la médaille. J'ai tout donné. Malheureusement, cela n'a pas suffi. Cette fois-ci, mon finish n'a pas été efficace comme en demi-finale. Est-ce la pression ? Je me suis mis la pression tout seul, tellement je voulais réussir. Je voulais tant succéder, faire comme les Morceli, Boulmerka et autre Saïd-Guerni, mais ça n'a pas marché. Dommage ! Votre avenir ? 800 ou 1 500 m ? Je vais me convertir au 1 500 m ou j'ai réussi un bon chrono. Toutefois, je n'abandonnerai pas définitivement le 800 m.