«Plus de prérogatives pour les présidents de l'APC ! A quoi bon et pour quelle raison puisque certains d'entre eux outrepassent leurs droits et se permettent de bafouer les règles et les lois la République, notamment celle qui garantit la propriété privée.» Propos douloureux d'un citoyen qui accuse et pointe du doigt le président de l'APC sortant de la commune de Zemmouri (ex-Courbet), son exécutif, le service technique de l'urbanisme pour avoir spolié et accaparé un terrain privé à Zemmouri-el-Bahri appartenant aux héritiers D. Ali, une parcelle de terrain cadastrée sous le lot n°13 d'une superficie de 567m2. Un acte de propriété faisant foi établi par Me Abderahmane Farès en date du 20/01/1964 n° 15-64 et disposant de documents fiables attestant de la véracité des faits et d'une reconnaissance de l'existence dudit terrain par l'APC de Zemmouri dans les années 1980. Le maire (sortant) Adim Aïssa s'est permis d'accorder des attributions d'autorisation d'activités et d'installations illégales de baraques de fortune (kiosques) à des fins politiques pour des indus-occupants dans ce terrain privé. Cette problématique, qui fait l'objet d'une affaire pendante au niveau de la justice, soulève une polémique d'une injustice, d'une hogra, d'un abus d'autorité d'un président d'APC qui se croyait tout permis et qu'avec son titre de premier magistrat de la commune de Zemmouri, il pouvait faire la pluie et le beau temps. Alors la question se pose : pourquoi les élus locaux de l'APC de Zemmouri ont-ils délibéré pour octroyer ce terrain à de tierces personnes sans s'assurer de son appartenance. Il paraîtrait que cette parcelle de terrain fait l'objet de convoitise et que beaucoup cherchent à se l'approprier. Il y a anguille sous roche. En outre, les héritiers D. Ali veulent investir sur cette parcelle de terrain qui leur revient de droit. A qui incombe la faute ? Au maire ou aux élus locaux ? Qui est responsable de cette situation ? Le P/APC, le bureau technique ou ceux qui sont chargés du cadastre ou tous ensemble ? Les héritiers de D. Ali accusent et dénoncent ces pratiques honteuses qui n'honorent nullement l'institution communale.